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ment paradoxal, il n’hésite pas à nous parler des
artifices
d’une « rhétorique profonde ». Au milieu du xviiie siècle, trois ph
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’inspiration libre. Dans ses recettes magiques et
artifices
profonds, elle ne vit que recettes et artifices, et commanda de les é
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t artifices profonds, elle ne vit que recettes et
artifices
, et commanda de les éliminer. De ses fleurs, elle fit des clichés1. A
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a terreur, se déchaîner la chasse impitoyable aux
artifices
de la fabulation. Maintenant, le romancier prétend décrire. Il s’excu
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dispose que de mots, quoi qu’il fasse. Ce dernier
artifice
paraît le gêner d’autant qu’il essaie de le faire oublier. D’où cet a
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son livre par une décision de l’esprit ou par un
artifice
de rhétorique, telle est la source impure du roman-fleuve. La longueu