1 adictions. Mais c’est ce qui peut intéresser. Une attitude aussi profondément ambiguë, vis-à-vis de la gloire, n’est pas sans en

2 teur et ses lecteurs. Or il se peut que ce soit l’ attitude de la plupart des écrivains modernes.) J’ai vécu pour la gloire — di

3 on style intellectuel. J’ai tenté de définir deux attitudes . Comment juger ? De la littérature qui veut agir dans l’immédiat, ou

4 cela poésie. On peut toutefois imaginer une autre attitude de l’être, et qui soit telle que la question du droit ne se pose plus

5 que la question du droit ne se pose plus. C’est l’ attitude de l’homme qui a vu quelque chose, ou simplement qui a cru voir, et q

6 L’ attitude personnaliste (octobre 1944)l La lecture des journaux clandestins

7 ues, pluralisme, fédéralisme. Ils définissent une attitude et une action. Certes, beaucoup de philosophes s’étaient intitulés « 

8 leurs yeux que s’ils traduisaient réellement une attitude nouvelle de l’homme aux prises avec le destin d’un siècle nouveau. Al

9 les des conséquences pratiques découlant de cette attitude doctrinale. Dès 1937, l’Ordre nouveau avait dénoncé l’organisation hy

10 pondant aux langues. l. Rougemont Denis de, « L’ attitude personnaliste », Le Monde libre, New York, Montréal, octobre 1944, p.

11 aduire en quantités physiquement mesurables notre attitude spirituelle. Elles étaient résultats et non pas causes. Car il n’y a