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s en une force vivante. Allons-y viribus unitis !
Car
cela est clair : ni les gauches ni les droites seules, ni les catholi
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is-moi s’il vit, s’il règne encore aux solitudes.
Car
sinon, tu m’entends, je suis le Prince ! Et quelle est la femme égaré
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e heureux, j’ai su choisir la pierre de mes vœux,
car
seul j’ai deviné le cher secret de son éclat. Et maintenant, ma pierr
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e maintenant, je ne puis plus poser de questions.
Car
si vous me dites que c’est une vraie balle que j’ai dans le cœur, il
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assez pour ne jamais avoir recours à ces remèdes,
car
définir l’amour ce n’est point le connaître, mais limiter sa part dan
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i s’interrompt. Tu ne sais rien que tu ne perdes.
Car
ce n’est pas le savoir que tu veux, mais la divine connaissance du pr
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ain. Le Prince André n’a pas trouvé de prochains,
car
il n’a cherché qu’un public. C’est le public qui donne la gloire à ce
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ntourent ne songerait pas à rechercher la gloire.
Car
la gloire est ce qui sépare. Mais il chercherait l’excellence, à son
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Ils n’y verraient, à juste titre, aucun reproche.
Car
l’Amérique a fait du journalisme un art par une révolution trop ignor
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ier. La liberté ne peut survivre à de tels chocs.
Car
elle est vraiment comme un rêve, un rêve heureux où l’on circule avec
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pour d’autres qui peut-être ne viendront jamais ?
Car
la carte des pays libres, hier encore presque aussi vaste que la terr
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eut plus vivre que sous la cuirasse. Hâtons-nous,
car
tout peut périr. Nous qui sommes encore épargnés, ne perdons pas notr
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ticisme plutôt que de paraître exagérer sa peine.
Car
il pense d’instinct, comme Talleyrand, que « ce qui est exagéré n’est
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artésien, c’est-à-dire dans le monde du discours.
Car
le Discours de la méthode ne définit en somme qu’une méthode du disco
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duperie moins naïve dans la modestie cartésienne.
Car
enfin où prend-on dans le monde rien qui soit « clair, simple et faci
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société idéale, mais quelques principes d’action.
Car
il s’agissait pour les personnalistes d’un changement spirituel d’abo
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et Paul, ou moi et l’autre, ou nous et l’ennemi :
car
« la seule chose qui importe est de gagner la guerre ». Là-dessus, no
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uelle. Elles étaient résultats et non pas causes.
Car
il n’y a pas d’abord la loi de l’offre et de la demande, il y a d’abo
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Quand cela serait, ce ne serait pas grand-chose.
Car
la guerre ne résulte pas d’une opération légale ou d’une enquête scie
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is l’humanité ne fut moins préparée pour la paix,
car
jamais elle ne fut plus dépourvue de respect pour les vertus que l’es
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is des siècles le sens religieux des Occidentaux.
Car
non content de combattre et d’évacuer les coutumes religieuses périmé
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nes, ou les écoles marxistes. Non moins valables.
Car
le tarot représente le Monde : on peut le voir de plus d’une façon. A
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t remplacé par Jupiter, ce qui est la même chose,
car
Jupiter étant symboliquement principe de vie, fait fonction de Dieu d
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ve aujourd’hui en circulation (si l’on peut dire,
car
leur vente est interdite dans de nombreux pays), s’inspirent de modèl
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blable à un fou, à un mendiant, à un hors-caste :
car
c’est ainsi que le saint, l’homme parfait, doit apparaître aux yeux d
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u forme, se trouve être aussi son essence propre.
Car
il est la coincidentia oppositorum. La forme suprême de cette union e
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u’un lecteur tombe jamais d’accord avec l’auteur.
Car
il n’est pas deux expériences humaines superposables. Et je ne renonc
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insignifiant. Quelque chose qui n’en finit plus,
car
la vie ne met jamais de point final. Il y a jeu quand les conséquence
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ie. Quelque chose de méthodiquement insignifiant.
Car
la-vie-telle-qu’elle-est ne signifie presque rien. Or, c’est elle qu’
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i coup de fondre, celui qui est suivi d’incendie.
Car
pour ceux que l’on attend, que l’on appelle, ils ne sont qu’éclairs d
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de les persuader, une fois si bien intéressées !
Car
rien ne flatte comme l’idée que l’on va vivre à son tour une scène de
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uniquement et tout simplement, c’est du courage.
Car
nous sommes libres, si nous sommes prêts à payer le prix de la libert
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ainsi dire. Après tout, nous devions le prévoir,
car
nous avons vécu un précédent : la guerre des gaz. Tout le monde s’y p
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imera donc les scrupules de l’agresseur éventuel.
Car
nos scrupules naissent en général d’une rapide évaluation des conséqu
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ouvient — non pas de ces épreuves-là précisément,
car
on n’avait jamais rien vu de pareil — mais de quelque chose de plus p
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leuse qui le laisserait tout béant sur l’absurde,
car
une obscure sagesse en lui s’y attendait ; elle le tenait prêt à subi
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ce à comprendre le mot penser dans son sens fort.
Car
penser sa mort réellement, ce serait aussitôt mourir. Peut-être avons
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a que le naturel se refuse à prendre au sérieux ?
Car
si nous restons impuissants à penser notre mort dans le vif, ce phéno
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re plus toute l’étendue de la conscience humaine…
Car
notre volonté n’est plus de conquérir, mais seulement d’assurer la vi
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iciper sa fin : la fin du temps, la Fin du Monde.
Car
il se peut que l’assurance mondiale que nous tentons d’organiser, amé
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s pris au dépourvu, comme nulle autre génération.
Car
, tandis que le temps s’écoule, à mesure que sa fin s’approche, notre
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ont dans la tempête la coutume des hautes pentes.
Car
celui seul qui accepte la mort n’est pas le jouet du vertige. Le temp
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. On en reviendrait bien, de cette fin du monde !
Car
sinon tout apparaissait d’une indécence inexprimable. Depuis bientôt
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bien sur votre élan vital que sur l’élan mortel.
Car
il ne vient pas de nous, mais d’En Face. Ici le futur nous attend, ce
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ien plus violent qu’il n’a jamais osé l’imaginer.
Car
, dit-il, au sein d’un tel choix, je m’approche insondablement de Celu
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i veut prenne de l’eau de la vie, gratuitement. »
Car
maintenant tout est payé. Tout est gratuit. .........................
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mon gouvernement mondial que vous ne voyez pas —
car
il supposerait une sorte de nation unique, sans voisins, donc sans gu
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d’ordre ! » Et ne croyez pas que je plaisantais.
Car
la Bombe seule peut nous débarrasser des armées, des souverainetés na
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moyen de l’éviter, ou plutôt d’en sortir un peu,
car
nous y sommes déjà bien engagés. Ce sont les guerres qui le produisen
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ne représentent pas les nations, mais l’humanité.
Car
ceux-là seuls seront qualifiés pour arbitrer. Autrement ce n’est qu’u
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ux. Jeu plus sérieux d’ailleurs qu’il n’y paraît.
Car
l’une des grandes questions du siècle est sans doute celle de ne poin
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Européen dénote un certain degré de spiritualité,
car
l’esprit se nourrit de sacrifices. Tandis que le bon sens américain t
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eut plus vivre que sous la cuirasse. Hâtons-nous,
car
tout peut périr. Nous qui sommes encore épargnés, ne perdons pas notr
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deux-cents mètres — du Portugal et de la liberté.
Car
tel est le sadisme policier. Nous venons de passer, en quatre jours d
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être la nouvelle la plus importante de la guerre.
Car
tout tient aux Anglais, et si ce bulletin dit vrai, les Anglais tienn