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qui chatouillent les politiciens ! Laissons tout
cela
et avançons ! La claire vision d’un but commun et d’un péril qui se d
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une force vivante. Allons-y viribus unitis ! Car
cela
est clair : ni les gauches ni les droites seules, ni les catholiques
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me aujourd’hui, l’on voit ce qui compte, et c’est
cela
qui unit. Pour le reste, si sérieux soit-il, on en reparlera plus tar
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ns couchés chez nous. Je ne sais combien de temps
cela
va durer. Elle délire et j’ai cette balle dans le cœur. Et voici que
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est la trouée du territoire derrière les lignes.
Cela
serait-il possible en Suisse ? Il y a autant de centres de résistance
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ais pour ce qui a trait à la défense du sol quand
cela
est raisonnable. À ceux qui demandent : « Pourquoi ces sacrifices ? »
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rissante. Mais l’amour même est chose du silence.
Cela
dont je ne puis parler sans l’offenser dans sa grandeur, c’est ce qui
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: il ne peut aimer qu’indéfiniment. Il n’aime que
cela
: regarder longtemps en silence, se perdre dans des yeux. (Certaines
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nce à mi-voix : « Je suis le serviteur du public,
cela
va sans dire. » C’est à cela qu’on donne la gloire. Et ceux qui ne la
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serviteur du public, cela va sans dire. » C’est à
cela
qu’on donne la gloire. Et ceux qui ne la briguent point risquent fort
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à ? Certes — mais non comme une erreur —, je veux
cela
. Qu’est-ce donc que « gloire », dont la prononciation, pour peu d’emp
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te, mais qu’elle soit inspiring, stimulante. Tout
cela
donne une littérature plus apte qu’aucune autre à l’expression du dyn
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confiance, presque d’une insouciance… C’est tout
cela
que vient de mettre en question l’usurpateur du Hradschin. Et dès lor
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gogne fameux présenté par le maître d’hôtel. Tout
cela
c’était le cliché « France ». C’était charmant, c’était piquant, indé
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la plupart des vedettes. Mais où était dans tout
cela
le vrai peuple de la vraie France ? Ce peuple naguère invisible, c’es
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, bien-disant, bon vivant et léger. Il n’est tout
cela
qu’en second lieu, et comme par luxe. Dans le fond et d’abord, il est
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que tous les cris de haines. Ils ne savaient pas
cela
, les jeunes Allemands, on ne leur avait jamais parlé du vrai peuple d
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d’une certaine grièveté qu’ils présentent, comme
cela
se dit d’une blessure… Le critique. Oui, oui… Mais ne tirez pas argu
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nous parlions de la clarté ? Je crois deviner que
cela
nous ramènera dans les environs du sujet de mes deux précédents dialo
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érées sur nos formes de langage. Je voudrais dire
cela
plus simplement… La tricherie d’une déduction claire consiste en ce q
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commencement ! Aller du simple au compliqué ! Que
cela
paraît plein de bon sens ! Le beau cliché, la belle absurdité, la mag
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la trace ne tarde pas à s’évanouir dans mes yeux
Cela
suffit pourtant à guider quelques pas. Les autres, je les risque dans
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agine ? A. Il vaut mieux dire indescriptible, et
cela
tient à sa vérité même, je veux dire à sa plénitude instantanée qui d
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rds de tricheries qui les flattent. Ils appellent
cela
poésie. On peut toutefois imaginer une autre attitude de l’être, et q
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ologiques, ou économiques. Que devenait dans tout
cela
, le droit imprescriptible d’un homme à dire je, à dire moi, à se cons
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st en fait qu’une part de lui-même. S’il comprend
cela
et s’il le croit, le malade guérira peut-être. Sinon, il faudra l’enf
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ommes contre, et nous la faisons tous : expliquez
cela
. — « Ce sont les autres. » Mais ils le disent aussi. — « Pardon ! ils
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s-nous en possession des pièces du procès ? Quand
cela
serait, ce ne serait pas grand-chose. Car la guerre ne résulte pas d’
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Cependant, il ne se sent frustré de rien de tout
cela
. Il est en union avec l’Univers, sa vraie maison. L’univers participe
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s en commun par les artistes et leur public. Tout
cela
faisait l’Art, aux grandes époques. Artiste était celui qui, de ces r
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fant, avant de lui raconter la même histoire, que
cela
s’est passé tout à l’heure, dans la rue, il ferait aussitôt mille obj
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reuve, je commence à douter ; après tout, j’ai vu
cela
, moi aussi, ou quelque chose qui ressemble à cela. « La vraie vie »,
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cela, moi aussi, ou quelque chose qui ressemble à
cela
. « La vraie vie », je la connais autant que cet auteur. Je me méfie,
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cultiver les conventions. » Ceci corrigerait donc
cela
? M. Romains connaît bien son public. Il sait que l’absence de conven
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. Romains ajoute : « Le lecteur se demandera : où
cela
va-t-il ? Des personnages se perdent… » Mais, répond notre auteur, co
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s pourquoi les romans devraient-ils exprimer tout
cela
? Et d’ailleurs, comment le pourraient-ils ? Si longs qu’ils soient,
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fît un prestige de les contredire et miner. Tout
cela
ne durera plus que le temps de liquider un héritage saccagé par la gu
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Juan triche, une fois de plus, quand il feint que
cela
se produise à l’improviste, comme au coin d’un bois… Il me vient une
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raversée en avion… Le banquier comprend très bien
cela
. Il parle beaucoup pour me réconforter, raconte avec vivacité comment
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m’arrête devant elle, les bras en arrière, comme
cela
— je me suis retenu de lui toucher l’épaule — et je m’entends prononc
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et je m’entends prononcer : — Puisqu’il faut que
cela
soit, eh bien… que cela soit ! Elle se lève et me suit. Nous allons c
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er : — Puisqu’il faut que cela soit, eh bien… que
cela
soit ! Elle se lève et me suit. Nous allons chez elle. Un vertige, un
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iberté de craindre le pire à chaque instant. Tout
cela
, nous disent, non sans raison, les gouvernants, n’est que le résultat
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’on continue à penser comme on pense aujourd’hui,
cela
finira dans l’explosion totale. Et il est évident que la grande major
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us me dites qu’elle n’est pas prête pour la paix,
cela
veut dire que vous d’abord, vous refusez de faire le choix de la paix
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itent. Et vous me direz : que fait Dieu dans tout
cela
? Dangereuse question : imaginez qu’il vous réponde ? S’il permet que
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out portant. La fin des armées, par exemple. Mais
cela
ne serait rien encore, quoi qu’en pensent quelques généraux. Je parla
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tique, ou anticommuniste, que sais-je. On m’écrit
cela
de Paris et l’on ajoute que je ferais bien de rentrer, sous peine de
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, mieux qu’ils ne sont en mesure de les imaginer.
Cela
se discuterait à l’infini. Il n’est qu’une solution, qui est d’aller
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plus vite que Jules Verne n’a pu le rêver. C’est
cela
, et c’est aussi le cauchemar des visas. Si cette folie furieuse et in
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’ouvrir. Il faut aimer. Il faut cesser de trouver
cela
nigaud, et de faire le coq de village tout hérissé, griffu, inefficac
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es. Outre-Atlantique, on est très camarade ; tout
cela
glisse, change, glisse… Et l’inverse ? Quels sont, chez l’Américain,
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mme une espèce de champ de bataille en puissance.
Cela
change toutes les perspectives. Le problème France-Allemagne n’a aujo
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e là-bas. Les grèves peuvent être violentes, mais
cela
ne veut pas dire que l’on soit de droite ou de gauche. On fait la grè
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peut nous fournir une seconde parabole du siècle.
Cela
se passe on Russie, dans l’école de Pavlov, auteur de célèbres travau
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gne assez bien l’étrangeté de la mort des autres,
cela
ne saurait en aucun cas se dire de sa propre mort, de la mienne. Et n
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instants, s’arrêter, accélère ma respiration. Et
cela
ne signifie point que nous n’ayons jamais pensé à notre mort avec une
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e aimante notre méditation et qu’elle la fixe sur
cela
que le naturel se refuse à prendre au sérieux ? Car si nous restons i
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r sans mémoire ? Il faut croire, aujourd’hui, que
cela
se peut. Cela s’est produit comme un rêve, ou comme la colère soudain
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? Il faut croire, aujourd’hui, que cela se peut.
Cela
s’est produit comme un rêve, ou comme la colère soudain là, ou le pri
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peut finir tout à fait et à jamais qu’au prix de
cela
justement qu’il n’était point permis d’imaginer. Celui dont les belle
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ins, donc personne à qui faire la guerre ? À quoi
cela
ressemblerait-il ? Les nations et leurs gouvernements ne se posent qu
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re première idée a été de supposer une guerre. Et
cela
pour essayer de vous mieux représenter ce qu’un pouvoir planétaire po
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unique, sans voisins, donc sans guerre possible —
cela
revient à dire que c’est la paix elle-même que vous ne voyez pas. Je
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sme parce qu’elle veut la justice sociale, et que
cela
n’a rien à voir avec la préparation à la guerre. Sans doute, mais je
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us toute l’Allemagne ou l’océan. (Mettez-lui bien
cela
dans la tête.) z. Rougemont Denis de, « Deux lettres sur le gouve
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Il pense qu’il faut ce qu’il faut, et qu’il faut
cela
, et que c’est ainsi depuis des siècles, et qu’on ne peut pas y échapp
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are et vous laisse juger. Ce n’est pas simple. Et
cela
va peut-être choquer ? Que voulez-vous, j’ai deux amours. Or l’amour
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rer son mégot, que de l’autre côté on savait tout
cela
, et qu’au surplus, on en faisait autant, avec des armes fournies par