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s bras, ma fille. II. Le marché de l’aube —
Choisis
la pierre de tes vœux, lui disait le petit marchand à la barbiche de
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archand à la barbiche de prêtre oriental. L’homme
choisit
la plus terne, il était triste et présomptueux. À mesure qu’avec les
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oir, il dit : — Je suis un homme heureux, j’ai su
choisir
la pierre de mes vœux, car seul j’ai deviné le cher secret de son écl
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la deuxième fois, il alla au marché de l’aube. —
Choisis
la pierre de tes vœux, lui dit l’homme à barbiche de prêtre, je me so
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iche de prêtre, je me souviens de ta jeunesse. Il
choisit
la plus éclatante. Et vois : quand il était heureux, elle luisait d’u
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des deux pierres sera ta pierre de Mort, si tu la
choisis
seule, et ne veux plus souffrir. III. Le coup de pistolet Évide
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pis rouges, et les lampes rouges, comme lorsqu’on
choisit
une couleur au jeu de cartes, rouge ou noir. J’arrive à la salle de l
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sible. C. Précisément je souhaitais de vous voir
choisir
entre un langage franchement poétique et ce langage clair et distinct
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sant les résultats acquis. Or ces phrases ont été
choisies
par le savant en vertu d’une double exigence : d’une part elles doive
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mme qui crée et qui se veut responsable ? Si nous
choisissons
la seconde voie, la doctrine du personnalisme s’impose à l’attention
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n n’est guère bon, mais l’autre est pire, et j’ai
choisi
sans hésiter jamais. On peut appeler le premier démocrate et le secon
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ir leurs lois, mais il y a d’abord des hommes qui
choisissent
de construire des machines plutôt que d’avoir faim, ou de chercher la
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e ses moyens vous déplaisent. Mais en refusant de
choisir
la paix, vous votez tacitement pour la mort, et vous en rendez respon
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. Je répondrais sans hésiter : il ne s’agit ni de
choisir
une terre et ses morts contre le Globe et ses vivants ; ni de choisir
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ses morts contre le Globe et ses vivants ; ni de
choisir
le nomadisme permanent et l’exil par principe ou dégoût. Il s’agit si
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ficace. Circulez donc, allez voir, et aimez. Puis
choisissez
. Revenez si le cœur vous en dit. Mais je sais bien qu’il y a les visa
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encore plaindre l’arrière-pensée, l’impuissance à
choisir
sans retour. Vivre est impur, qu’on sache ou non où va la vie, et c’e