1 éfiance porte sur l’arrière-pensée qui présida au choix de ces données dites premières. Encore n’est-il pas exact de recourir

2 iques étaient plus fortes que l’esprit et que ses choix . Or ces réalités ne faisaient que traduire en quantités physiquement

3 t gratuitement les secours de la religion de leur choix  ; « trois » : ils n’ont plus à se préoccuper de leur subsistance ; « 

4 ragédie n’aura pas de lignes pures, parce que nos choix ne sont pas si francs, et que nos chefs savent à peine ce qu’ils joue

5 t dire que vous d’abord, vous refusez de faire le choix de la paix, parce que ses moyens vous déplaisent. Mais en refusant de

6 rites attestant devant les mânes des ancêtres un choix farouche, irrévocable. Se déplacer devient un geste naturel, et parti

7 ant sa liberté, et qui accepte les risques de son choix . Laissons l’Histoire telle qu’on la simplifie en courbes ascendantes

8 nu, leur sens dernier et l’enjeu véritable de ses choix , à qui reviendrait l’empire de ce monde ? À l’Ecclésiaste ou au Jeune

9 ssion, et chaque homme forcé à l’extrémité de son choix , cria le « terme » de sa vie, la proféra tout entière dans ce cri, ré

10  ?14 « Qu’il voudrait subsister dans ce moment du choix qu’on lui impose maintenant, bien plus violent qu’il n’a jamais osé l

11 ais osé l’imaginer. Car, dit-il, au sein d’un tel choix , je m’approche insondablement de Celui qui d’un choix me créa. » (Nou

12 x, je m’approche insondablement de Celui qui d’un choix me créa. » (Nous fûmes tous saisis d’un vertige à ce discours d’une f

13 par leurs idéaux, c’est-à-dire par destin ou par choix . Croyez-vous sérieusement que les Français cesseront de parler frança