1 1943, Articles divers (1941-1946). La gloire (mars 1943)
1 quel est ce seuil, et que nous ouvrent, sur quel ciel , les symphonies ? Je n’ose pas dire que je veux être Dieu. Ce serait
2 1943, Articles divers (1941-1946). Mémoire de l’Europe : Fragments d’un Journal des Mauvais Temps (septembre 1943)
2 drapeaux claquants et ses rues débouchant sur le ciel , la ville aux sept collines oublie la guerre, oublie l’Europe. Dans q
3 des lignes humaines, humilité sous la douceur du ciel , retrait des âmes dans leur destin. Je longeais cette rue silencieuse
4 u village, silence des rues vides ouvertes sur le ciel et sur les blés. J’étais là fasciné comme par la découverte d’un secr
3 1944, Articles divers (1941-1946). Quelle guerre cruelle (octobre-novembre 1944)
5 C’est inconcevable ! » opineront-ils, les bras au ciel . Mais c’est très simple. Un homme qui meurt de faim mange n’importe q
4 1945, Articles divers (1941-1946). Présentation du tarot (printemps 1945)
6 ns le Grand Œuvre. Cependant le fond bleu pâle du ciel indique que la paix spirituelle s’établira finalement quand les tensi
5 1946, Articles divers (1941-1946). Contribution à l’étude du coup de foudre (1946)
7  ?… Et ce coup de foudre, n’est-il pas tombé d’un ciel qu’il convient de nommer Littérature ? o. Rougemont Denis de, « Co
6 1946, Articles divers (1941-1946). Dialogues sur la bombe atomique : Post-scriptum (27 avril 1946)
8 s pour la retenir ! Comme si elle était tombée du ciel , animée de mauvaises intentions ! C’est d’un comique démesuré. Le con
7 1946, Articles divers (1941-1946). La fin du monde (juin 1946)
9 se promène-t-il depuis quelques instants dans un ciel sale. Qui sortirait pour voir ? Seul, d’ici, je m’étonne : ce monde p
10 aite possession de soi-même, à son enfer ou à son ciel , dans la consommation de tout son être, au faîte inconcevable du dési
8 1946, Articles divers (1941-1946). En 1940, j’ai vu chanceler une civilisation : ce que l’on entendait sur le paquebot entre Lisbonne et New York (21 septembre 1946)
11 s drapeaux claquant et ses rues débouchant sur le ciel , la ville aux sent collines renie la guerre, oublie l’Europe. Dans qu