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ns et déjouer à temps leurs calculs. Reynold a le
courage
d’envisager — de regarder en plein visage — ce qui nous ruine. Non qu
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premiers éléments. Si cette génération n’a pas le
courage
de s’avouer plus profondément qu’aucune autre, il ne faut en attendre
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e libres, uniquement et tout simplement, c’est du
courage
. Car nous sommes libres, si nous sommes prêts à payer le prix de la l
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experts. Il la tient de sa vision seule et de son
courage
de lutter pour la joindre. Lénine, sous le tsarisme, était plus libre
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leue, et que personne, même pas Hitler, n’a eu le
courage
de commencer. À plus forte raison pour la Bombe… — Je ne trouve pas l