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se désigne lui-même comme total (ou totalitaire)
doit
bien suffire à fédérer nos vérités partielles en une force vivante. A
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e coup de pistolet Évidemment, je n’aurais pas
dû
entrer. On fait de ces bêtises, par négligence, croit-on. Bref, je su
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pas être mis à la porte ! Naturellement, j’aurais
dû
pousser la première porte venue, sans y penser, et je serais sorti co
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es, il consacre quelques heures par semaine à ses
devoirs
militaires. Un capitaine, par exemple, dans la vie civile, surveille
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re de « fronts », et qu’une défense en profondeur
devait
être organisée, constituée par des « nids » offrant une résistance lo
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e retraite nationale. Certaines unités de l’armée
doivent
ralentir la pénétration des frontières, d’autres doivent défendre les
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ralentir la pénétration des frontières, d’autres
doivent
défendre les vallées partant du Gothard. Les Suisses pourraient tenir
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leurs morales. Il y a l’idée fédéraliste que nous
devons
conserver comme un héritage à nos descendants. Voilà pourquoi nous cr
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me si la guerre était gagnée, même si demain nous
devons
vivre encore… À quoi pensent-ils, ceux de la bataille ? Ont-ils de ce
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nce par ses vedettes. À leurs yeux, tout Français
devait
ressembler aux types d’humanité que représentaient dans le monde les
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en vertu d’une double exigence : d’une part elles
doivent
permettre de permettre de passer, par une espèce de symbolisme abstra
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les obscurités, tous les paralogismes du langage
doivent
l’indiquer comme au-delà d’eux-mêmes… ce que ne sauraient faire des a
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conque. Je dis que l’homme qui a vu quelque chose
doit
parler la langue des prophètes et composer des paraboles. Si ses prop
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à reconstruire, les grandes questions peuvent et
doivent
être reposées. Allons-nous rebâtir sur les valeurs d’une philosophie
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omme ? Sur quelle notion centrale de son humanité
devons
-nous recentrer le monde ? Les institutions doivent être fondées sur u
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devons-nous recentrer le monde ? Les institutions
doivent
être fondées sur une notion compréhensive de l’homme, sinon elles agi
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u n’a que des droits, le soldat politique que des
devoirs
. Le premier est un pur concept, le second est un simple objet. À ces
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n sur des formules de ce genre : les institutions
doivent
être au service de l’homme, et non l’inverse : — la liberté ne cesse
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et le travail qualitatif ou créateur. Le premier
devait
être entièrement socialisé, et régi par l’État, qui assurerait d’autr
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n d’un minimum vital gratuit pour tous. Le second
devait
rester libre, et d’autant plus qu’il recevrait l’aide gratuite du ser
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de ville, dans chaque commune, des correspondants
devaient
grouper un auditoire régulier, lui transmettre des informations vraie
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y a pas d’abord les machines puis une société qui
doit
subir leurs lois, mais il y a d’abord des hommes qui choisissent de c
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vous n’y avez pas pensé. Nous avons « fait notre
devoir
» et pas de question. Je dis que la guerre nous plaît. Elle arrange b
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es religieuses périmées (c’était son droit et son
devoir
), il s’est méthodiquement refusé à laisser naître des coutumes nouvel
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21 = 22 = (20) = 0. Telles sont les brimades que
doit
subir le débutant dans l’étude du tarot. 3. Variations Selon le
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moderne de B. McM. Hazard (résumé) La clef 0
doit
exprimer un état de préparation, avant la conscience et l’individuati
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: car c’est ainsi que le saint, l’homme parfait,
doit
apparaître aux yeux des autres. Il s’est libéré des systèmes de caste
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ue est placée une des lettres du mot T A R O, qui
doit
se lire dans le sens des aiguilles d’une montre. À l’extrémité de cha
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de roue, sont les lettres Yod, Heh, Vav, Heh, qui
doivent
être lues en sens inverse des aiguilles d’une montre, étant hébraïque
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oint, lorsque, risquant un assemblage de mots qui
devait
paraître, de son temps, le plus scandaleusement paradoxal, il n’hésit
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s un « art vivant ». Comme si les règles d’un jeu
devaient
être vivantes ! Plus personne ne pourrait jouer2. Le jeu ne sera viva
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l’insignifiance, au sens littéral de ce terme, où
devait
choir fatalement le roman dès qu’il refusa d’être fable. Tout l’intér
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ù cet axiome de la critique moderne : un roman ne
doit
pas être « écrit ». Tous ces efforts trahissent le curieux embarras d
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ences du sort… Bien sûr. Mais pourquoi les romans
devraient
-ils exprimer tout cela ? Et d’ailleurs, comment le pourraient-ils ? S
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t surtout avec l’art. Cette tricherie généralisée
doit
amener, nécessairement, la dissolution du roman dans le documentaire
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sadique et le goût des orgies de destruction que
devait
traduire, quelques années plus tard, la guerre totale. Ne fût-ce que
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t pas mauvaise. J’ignore d’ailleurs si ce progrès
doit
être attribué à moins de fanatisme de la part des masses religieuses,
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triple tout ce qu’elle s’est épuisé à combattre ?
Doit
-elle accepter de se passer d’au moins trois libertés sur quatre, avec
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les droits, puisque nous lui laisserons tous les
devoirs
. Ce qu’il nous faut, ce n’est pas d’abord un monde bien arrangé autou
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e se dégonfler, pour ainsi dire. Après tout, nous
devions
le prévoir, car nous avons vécu un précédent : la guerre des gaz. Tou
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me contenter de répondre : c’est plutôt vous qui
devriez
sortir, sous peine de ne pas comprendre la réalité mondiale. Après to
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semaines encore, du côté où les jeunes Européens
devraient
aller s’il s’agissait pour eux de partir. Je vois les avantages de l’
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icain s’achète une bonne conscience en payant son
dû
à l’État. J’admire beaucoup son sens civique. Quand le citoyen est di
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a imprimé son sceau de vie, de foi et de vérité,
doit
être classé à l’opposé absolu de tout ce qui porte en soi le germe de
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s d’expériences de la veille. Singe est celui qui
doit
refaire chaque jour le chemin perdu pendant la nuit, faute de repères
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garants infaillibles d’un bonheur qui lui serait
dû
. L’échec pour lui — guerre, privations, retards — n’est pas une décep
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nts à penser notre mort dans le vif, ce phénomène
doit
normalement être aperçu comme négligeable ; et s’y attarder serait le
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peut-être une aube, et la frange de cet éclat qui
doit
consumer toute chair. Dans cette lueur suspecte, risque un jour d’app
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dépourvu de sérieux. Or, le gouvernement mondial
devrait
se passer de ces deux ministères, en vertu de sa définition. De plus,