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rtésienne travaille sur des cartes postales. Elle
dispose
en bon ordre ses repères, et puis s’ébranle à reculons vers l’inconnu
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contraire d’une carte postale. Il s’agit donc de
disposer
l’esprit dans une certaine orientation au moyen de mots et de phrases
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is il la reliait graduellement à d’autres cartes,
disposées
autour de la première selon des structures de plus en plus complexes.
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. Les règles étant connues, amateurs et critiques
disposaient
d’une mesure commune avec le créateur. Ils pouvaient estimer la bienf
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réer l’illusion du réel quotidien. Pourtant il ne
dispose
que de mots, quoi qu’il fasse. Ce dernier artifice paraît le gêner d’
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dée soit tragique : elle m’appartient, je puis en
disposer
, feindre assez facilement d’en rire. Elle n’est pas plus forte que mo