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et à se préparer en conséquence. Nous n’avons pas
encore
su prendre le tempo de ce xxe siècle. C’est que nous sommes devenus
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et de l’absence d’imagination réaliste, prolonge
encore
dans la vie de nos cantons une existence condamnée ailleurs par des f
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vent pour être de « gauche », comme si je croyais
encore
aux vaines distinctions qui chatouillent les politiciens ! Laissons t
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le maître du palais, dis-moi s’il vit, s’il règne
encore
aux solitudes. Car sinon, tu m’entends, je suis le Prince ! Et quelle
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vêtu des voiles, elle tremble nue. — Où se cacher
encore
? dit-elle. — Dans tes voiles. — Tu les as pris. — Viens dans mes bra
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la pierre se mit à luire davantage ; et davantage
encore
il l’aimait, plus il luttait contre la vie, plus il vivait. Un soir,
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il vécut de ce feu. Le printemps vint. — Aurai-je
encore
besoin du feu ? Je reprendrai ma pierre et me reposerai dans la fraîc
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pplie avec une impérieuse tendresse. De plus près
encore
, l’œil vient à perdre toute expression, regard absolu de l’angoisse.
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osophies : celle du désir et celle de l’acte ; ou
encore
, il n’y a que deux doctrines : celle du silence et celle de la parole
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vrez-moi de la gloire ! Mais cette prière m’émeut
encore
comme la gloire ! 1938 e. Rougemont Denis de, « La gloire », VVV
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me pour qui le lendemain n’existe pas, remarquait
encore
André Gide. Dans ce sens élargi du mot, mais en retirant à l’épithète
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incomparable pouvoir d’émotion. Mais elle attend
encore
son style intellectuel. J’ai tenté de définir deux attitudes. Comment
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stalgie de tous ceux qu’a touchés le romantisme —
encore
un paradis perdu ! Mais les vrais paradis seront toujours perdus : il
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Et voici que ce Temps Perdu, tout d’un coup, est
encore
plus proche : c’est l’an passé, c’est avant-hier, peut-être même est-
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soucis, nos plaisirs personnels… Combien de temps
encore
, combien de semaines pourrons-nous goûter ce répit, et sentir que nou
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étrange et brutale, où ces formes de vie qui sont
encore
les nôtres ne peuvent plus apprivoiser le destin. Soit que les tyrans
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rfois l’arrière-conscience d’un miracle. Elle est
encore
une œuvre d’art qui n’agit que par l’atmosphère, par le charme qu’ell
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ous sommes pareils à celui qui s’éveille et goûte
encore
quelques instants les délices d’un rêve inachevé. Mais il sait bien q
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es, c’est la fin d’un communiqué, régions perdues
encore
, régions perdues dans le passé et territoires envahis. Le passé, le p
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dront jamais ? Car la carte des pays libres, hier
encore
presque aussi vaste que la terre, se rétrécit de jour en jour et d’he
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re était gagnée, même si demain nous devons vivre
encore
… À quoi pensent-ils, ceux de la bataille ? Ont-ils de ces retours sou
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nd ils s’endorment épuisés, sur un talus, ou pire
encore
! ils en ont au réveil, affreux bonheur d’une illusion rapide, où sui
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toujours pressée d’imaginer un monde où tout peut
encore
continuer. J’ai vu la civilisation frappée au cœur, je l’ai vue chanc
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r la tête, qui se relève, se tâte, et ne sait pas
encore
où il a mal. Va-t-il vivre ? A-t-il rêvé ? Serait-il déjà mort ? J’ai
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Hâtons-nous, car tout peut périr. Nous qui sommes
encore
épargnés, ne perdons pas notre délai de grâce ! VI. — Souvenir de
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e malheur (février 1944)k Autrefois et naguère
encore
, avant l’occupation allemande, les étrangers qui n’avaient pas voyagé
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sistance à Paris ou en province, ne nous montrent
encore
que le peuple de France, pour la première fois. Le peuple anonyme, le
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it, je crois, c’est qu’à mon sens vous n’êtes pas
encore
assez clair. L’auteur. Et pourquoi je vous prie, être clair ? Vous n
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courant sans aucun doute. Et plus rigoureusement
encore
notre langage intellectuel et scientifique, qui se distingue du langa
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présida au choix de ces données dites premières.
Encore
n’est-il pas exact de recourir ici à l’expression d’arrière-pensée. C
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d’un objet avec l’aisance à le connaître — c’est
encore
un tour du langage — ne va pas reculer devant cet autre exploit : pos
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n tenant compte du tout qui les englobe. Ou c’est
encore
se garder avec soin de les définir autrement qu’en vue de cette fin d
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se gâtent, et quand on a faim, on les ouvre. C.
Encore
une petite question, voulez-vous ? Qui a le droit de parler en parabo
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ière pour endosser le risque d’être obscur. Passe
encore
pour l’homme de Patmos, qui avait vu la fin de notre Histoire : l’amp
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osophique, la situation n’était pas meilleure. Là
encore
, la personne humaine se voyait attaquée, disséquée, réduite de plus e
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, à un moment où cette institution n’existait pas
encore
en France. L’expérience, dans l’ensemble, réussit brillamment. Je me
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ents autonomes en perpétuelle interaction n’a pas
encore
été traduite dans nos institutions. Nos nations sont restées au stade
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t sans illusions les obstacles qui leur barraient
encore
la route. Ils souffraient tout d’abord d’une qualité et d’un défaut b
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de pression collectifs. Il valait mieux attendre
encore
un temps, plutôt que de s’engager dans une propagande trop coûteuse p
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t religieux, cette « survivance ». Et nous lirons
encore
des jérémiades sur le déclin de l’esprit et l’abandon des grands prin
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à droite, contient toutes les couleurs du spectre
encore
indifférenciées ; la couleur jaune du fond est celle de l’intellect,
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nrich Zimmer (extraite d’un ouvrage posthume, non
encore
publié) Dernière carte de la série de 78, la seule qui ne porte pa
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retrouve ici au plus bas niveau de la conscience,
encore
solaire et collective (symboles abstraits). Autour de la roue, trois
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se d’un roman comme L’Astrée. Mais L’Astrée n’est
encore
qu’un rêve éveillé, donné pour tel par son auteur. C’est avec La Prin
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lateur s’appelle Balzac. Avec lui, après lui plus
encore
, le roman tourne à l’« étude » du réel, quand le conte, la légende, e
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aires et certains des meilleurs écrivains avaient
encore
coutume de débuter par des phrases stéréotypées : « Par une belle mat
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le Noir.) Ces procédés d’avertissement retenaient
encore
une règle élémentaire : marquer le début du jeu par un signal convenu
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re rien qu’il ne sache attendu. « Le roman, écrit
encore
M. Romains, ne connaît pas de vraies servitudes. Ce qui diminue peut-
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éalité la cause immédiate de la seconde.) Parlant
encore
de son propre roman, M. Romains ajoute : « Le lecteur se demandera :
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s fables ne s’éteindra pas pour si peu ; et moins
encore
, le besoin d’en conter. L’imaginaire, délivré du souci d’une vraisemb
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pas assez que d’une complaisance acquise. Il faut
encore
une rencontre ménagée à la ressemblance du rêve : toute une cérémonie
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arquer que mon malaise est contagieux. Il bavarde
encore
en prenant le café, puis s’excuse d’avoir à regagner sa banque : d’ai
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ssi, je crois. Nous voici seuls. Silence. Silence
encore
dans la voiture qu’elle conduit avec une expression concentrée, presq
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ns me chercher d’excuse. Et comme elle se taisait
encore
, je lui ai demandé comment elle avait su. Alors elle m’a tendu une le
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i jamais les nuits extraordinaires que nous avons
encore
pu passer ensemble, à la veille de ce cataclysme. » La lettre était s
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ême qu’en Russie soviétique et au Japon. On brûle
encore
, à l’occasion, quelques églises protestantes au Mexique, mais dans l’
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ue faire ? Tout le monde ne peut pas tout savoir,
encore
moins tout voir et tout comprendre. Les problèmes les plus angoissant
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e leur vertu d’ordre. Admettons qu’elles arrivent
encore
à se battre. Admettons que la Bombe soit moins puissante que les sava
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nentale. Admettons que notre globe dure longtemps
encore
, et que la guerre militaire y prospère d’autant mieux qu’elle sera do
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des armées, par exemple. Mais cela ne serait rien
encore
, quoi qu’en pensent quelques généraux. Je parlais de la fin du monde…
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Il se trouve que j’habite, pour quelques semaines
encore
, du côté où les jeunes Européens devraient aller s’il s’agissait pour
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vent pratiquement en mesure de le vivre ! Combien
encore
sont-ils du Moyen Âge, ou du bourgeois et lent xixe siècle ! Serait-
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rogrès matériels dont notre basse époque pourrait
encore
s’enorgueillir. Ils représentent dans l’esprit des modernes la Fatali
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en courbes ascendantes et descendantes. Tout peut
encore
se renverser, et plus d’une fois, dans les destins de collectivités a
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l’Europe a promues patiemment et qu’elle illustre
encore
aux yeux du monde. Je veux parler de la « mémoire » et de l’« expérie
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ue faire ? Tout le monde ne peut pas tout savoir,
encore
moins tout voir et comprendre. Les problèmes les plus angoissants de
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avec moins d’envie le débauché, dont il faudrait
encore
plaindre l’arrière-pensée, l’impuissance à choisir sans retour. Vivre
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concrètement sa fin ? D’où vient qu’imperceptible
encore
au plus grand nombre, à tous les lettrés sans esprit, la pensée de la
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la Fin, que dire de la durée ? Mais tout se mêle
encore
confusément. Nous sommes là comme en rêve, empêtrés, dans le sentimen
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la Fin. Une première demande d’informer. Non pas
encore
l’Arrêt dernier, mais déjà ce ralentissement qui nous fait accéder à
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irait dans la honte et la rage ? Ceux qui croient
encore
aux mesures et cherchent leur appui dans l’illusion tomberont en gran
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auteurs et découvre que Dieu y est plus dangereux
encore
, d’une autre sorte, fulgurante. Péripétie La scène du monde vie
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feste au Jour de tous les jours. Comme il parlait
encore
, une lueur d’aube apparut et grandit autour d’eux. Toutes choses repl
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ient forts et s’attendaient à l’éclat d’une lueur
encore
plus vive. Par degré le Grand Jour éclatait, toujours plus vaste et b
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able à notre époque ; et que ceux qui la tenaient
encore
pour une nécessité, voire pour une vertu, étaient les véritables élém
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aliser ». On n’ose pas dire « étatiser ». On veut
encore
tirer parti du prestige qui s’attache à l’idée de nation… En fait, on
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ivre (19 juillet 1946)ab Pendant que vous avez
encore
quelques Américains en France, et que l’Amérique encore me tient par
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quelques Américains en France, et que l’Amérique
encore
me tient par tout ce que je viens d’y vivre en six années, livrons-no
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s écoles confessionnelles. L’Américain lui, passe
encore
en Europe pour un Anglo-Saxon puritain du type dynamique, alors qu’il
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toujours pressée d’imaginer un monde où tout peut
encore
continuer. Je viens de voir une civilisation frappée au cœur, je l’ai
81
r la tête : il se relève, se tâte, et ne sait pas
encore
où il a mal. Va-t-il vivre ? A-t-il rêvé ? Serait-il déjà mort ? J’ai
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Hâtons-nous, car tout peut périr. Nous qui sommes
encore
épargnés, ne perdons pas notre délai de grâce ! À bord de l’Exeter, 1
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privée. Pourtant, certains des passagers gardent
encore
l’air de s’attendre au pire, tandis qu’ils font leur premier tour de
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llemands, en effet, même victorieux, se plaignent
encore
comme des victimes. Et les Anglais, même battus, se comportent en pro