1 ne robe d’été et imaginer qu’il reconnaissait ses enfants . De telles choses comptent dans la guerre. Mais une petite armée peut

2 Le jeu ne tolère pas de scepticisme. Observez un enfant quand il attend « l’histoire ». Dès que la formule consacrée tombe de

3 nsacrée tombe des lèvres de la grande personne, l’ enfant change de visage, l’état second paraît. C’est l’état passionné d’atte

4 lui être conté. Mais si vous alliez dire au même enfant , avant de lui raconter la même histoire, que cela s’est passé tout à

5 . Il vous jugerait avec toute la sévérité que les enfants réservent aux adultes futiles. Au siècle passé, les conteurs populair

6 trois libertés sur quatre, avec l’espoir que ses enfants les recevront plus tard — données par qui ? Sommes-nous voués à l’esc

7 ope. Dans les écoles américaines, on enseigne aux enfants combien de calories, de vitamines sont nécessaires à leur organisme.