1
e, prolonge encore dans la vie de nos cantons une
existence
condamnée ailleurs par des faits que je n’ai pas à rappeler. La faibl
2
louanges ? J’ai donc vécu pour les autres, et mon
existence
est perdue, perdue sans retour ; depuis que je vis pour moi, je vis p
3
ûter ce répit, et sentir que nous prolongeons une
existence
que nos fils appelleront douceur de vivre ? Déjà nous éprouvons que l
4
ses entendues au passage, d’infinis croisements d’
existences
étrangères. Paris propose une liberté et un danger, une révélation to
5
vie quotidienne, le persécutent et lui rendent l’
existence
impossible. Il se persuade que des forces absolument distinctes de so
6
rit puisse accepter pour suspendre le cours d’une
existence
de plus en plus conforme aux prévisions des grandes compagnies d’assu
7
et quelques-unes des situations élémentaires de l’
existence
, signifiées par allégories. Il n’en est rien. Tout est symbole dans l
8
be est un fait durement établi au niveau de notre
existence
matérielle. Avant qu’elle puisse devenir un fait de droit, il nous fa
9
retardons sur nos réalités. Nous poursuivons nos
existences
provinciales, Londoniens, Madrilènes, Parisiens ou Romains, avec nos
10
le monde russe. On a fortement l’impression de l’
existence
de deux pôles d’attraction : l’Amérique et la Russie. Cette impressio
11
be est un fait durement établi au niveau de notre
existence
matérielle. Avant qu’elle puisse devenir un fait de droit, il nous fa
12
retardons sur nos réalités. Nous poursuivons nos
existences
provinciales, Londoniens, Madrilènes, Parisiens ou Romains, avec nos