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nous nous contentons de lutter contre les signes
extérieurs
du mal, sans essayer d’en modifier les causes dans nous-mêmes11. Mais
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oir magique. Voici l’expérience du Fou : le monde
extérieur
n’a pas plus de signification réelle que l’ego, dont il s’est débarra
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il la voit. Mais cette réalité — c’est-à-dire : l’
extérieur
— ne peut fournir que des objets à exprimer, non pas des moyens d’exp
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sordre varié des objets ou des sentiments ? Par l’
extérieur
on ne rejoint que l’insignifiance observable. C’est ce qui va se prod
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nsèque du conte, par le recours à l’autorité tout
extérieure
du fait accompli. Cette possibilité de tricherie est voisine de celle
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d’une liberté sans condition. Quelques phénomènes
extérieurs
viendront précipiter sa fin. Son sort se trouvait lié, dès sa naissan
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s sont solidement protégés contre tous les périls
extérieurs
. Ce sont les détenus des prisons américaines. (On leur donne même des
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plupart de ces animaux montrent alors les signes
extérieurs
de la crise de nerfs, du « nervous break down » le plus caractérisé !
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ts ne se posent qu’en s’opposant. C’est la menace
extérieure
qui « cimente leur unité », qui « galvanise leur énergie », et qui pr