1 1942, Articles divers (1941-1946). La leçon de l’armée suisse (4 mars 1942)
1 , et des brigades indépendantes pour défendre les frontières . Ces troupes de couverture connaissent les positions préparées à la f
2 uverture connaissent les positions préparées à la frontière , parce qu’elles les ont fortifiées de leurs propres mains. À la premi
3 se fit en quelques heures, le long de toutes les frontières de la Suisse. Les gardes-frontière prennent position à quelques kilom
4 és de l’armée doivent ralentir la pénétration des frontières , d’autres doivent défendre les vallées partant du Gothard. Les Suisse
2 1943, Articles divers (1941-1946). Mémoire de l’Europe : Fragments d’un Journal des Mauvais Temps (septembre 1943)
5 s En Suisse, 24 mai 1940. Poste militaire à la frontière Écouté la radio : opéra de Mozart. Et dans une seule bouffée, toutes
6 re le démoniaque et le surhumain. Et j’ai vu, aux frontières de la Suisse, l’invasion des herbes sauvages venant des terres abando
3 1944, Articles divers (1941-1946). L’attitude personnaliste (octobre 1944)
7 ganiques, à leur imposer en dépit du bon sens des frontières communes8, un régime uniforme. C’est pourquoi, se plaçant dans la lig
8 ent fédérées par bassins naturels, par-dessus les frontières nationales, au besoin. Je donnerai deux exemples des conséquences pra
9 ation politique de la nation. La France avait des frontières rigides et un centre unique, Paris. Entre les deux, le vide, l’espace
10 et ferrugineux de la Sarre coupé en deux par une frontière correspondant aux langues. l. Rougemont Denis de, « L’attitude pers
4 1946, Articles divers (1941-1946). Deux lettres sur le gouvernement mondial (4 juin 1946)
11 souveraineté absolue, n’est pas limité par leurs frontières et ne saurait être défendu par leurs armées. En effet, supprimez ces
12 liser » tout ce qui peut l’être à l’intérieur des frontières , au lieu de multiplier les échanges internationaux, comme le bon sens
13 get militaire, qui se bardent de protections à la frontière , comme autrefois, en attendant que la Bombe vienne volatiliser leurs
5 1946, Articles divers (1941-1946). En 1940, j’ai vu chanceler une civilisation : ce que l’on entendait sur le paquebot entre Lisbonne et New York (21 septembre 1946)
14 re le démoniaque et le surhumain. Et j’ai vu, aux frontières de la Suisse, l’invasion des herbes sauvages venant des terres abando
15 du train qui sifflait déjà pour le départ vers la frontière — à deux-cents mètres — du Portugal et de la liberté. Car tel est le