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llence, à son rang et selon ses astres. Ainsi les
héros
et les rois sont les auteurs de leur éclat. Ils donnent et ne demande
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ent enfin le petit peuple français comme le grand
héros
de la France. Soudain, l’étranger s’aperçoit d’une vérité aussi vieil
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e de précautions ! Vous êtes en train d’imiter ce
héros
de je ne sais quel album de Toepffer, qui feint de feindre afin de mi
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ti. Mais s’il n’y a plus de guerres, qui fera les
héros
? Qui réveillera le sens du sacrifice ? Pour qui ? Pour quoi ? Jamais
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igieux. L’épopée perpétue ensuite le souvenir des
héros
de la tribu. Mais à mesure que les dieux prennent figure d’hommes, qu
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s intéressent le lecteur s’il se retrouve dans le
héros
. La part de l’art y est réduite à celle du style. L’autre branche ser
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d nombre contre les créations catastrophiques des
Héros
ou des grands Névrosés. Un doute règne sur nous, depuis peu. Nous ess
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rte de fatalisme inconscient. (Je ne parle pas du
héros
, mais du troupier moyen, sans opinion.) Il pense qu’il faut ce qu’il