1
e bon, mais l’autre est pire, et j’ai choisi sans
hésiter
jamais. On peut appeler le premier démocrate et le second totalitaire
2
on temps, le plus scandaleusement paradoxal, il n’
hésite
pas à nous parler des artifices d’une « rhétorique profonde ». Au mi
3
res de circuler à notre guise. Je répondrais sans
hésiter
: il ne s’agit ni de choisir une terre et ses morts contre le Globe e
4
res sous les traits consolés du Désir. La plupart
hésitaient
en présence de la banalité soudain flagrante de leurs vœux, et, final