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pporter en détail. Au séminaire de Short Stories (
histoires
brèves, nouvelles) d’une grande université américaine, on enseigne au
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ter la radio. Rien de nouveau, toujours les mêmes
histoires
, pas de décision… » Le monde était en train de changer de face d’un j
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nvisible, c’est le malheur le plus affreux de son
Histoire
qui le révèle au monde, aujourd’hui, dans sa véritable grandeur. Les
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i la réponse qu’elle me fit : Jésus racontait des
histoires
pour qu’ils s’en souviennent mieux plus tard. C’est comme les noix qu
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r l’homme de Patmos, qui avait vu la fin de notre
Histoire
: l’ampleur de sa vision le sauve. Mais il est des visions moins illu
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rêve d’angoisse. Ce rêve collectif a modelé notre
histoire
, mais il était d’abord dans l’ombre de nos âmes. On a remarqué que da
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un des moments les plus violemment poétiques de l’
histoire
de France. Ces cartes à fond doré, à bord d’argent, ne portent ni ins
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elles qu’elles sont. Les 22 arcanes décriraient l’
histoire
de l’homme qui part dans la vie comme un Fol (arcane zéro) et aboutit
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t d’étonnement favori, le mythe se rapproche de l’
histoire
. Il gagne en intérêt tout ce qu’il perd en magie. Naît alors le récit
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le voit se gonfler de psychologie, de lyrisme, d’
histoire
, de politique, de documentation. Commence alors l’inflation romanesqu
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epticisme. Observez un enfant quand il attend « l’
histoire
». Dès que la formule consacrée tombe des lèvres de la grande personn
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ire au même enfant, avant de lui raconter la même
histoire
, que cela s’est passé tout à l’heure, dans la rue, il ferait aussitôt
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comment dire ? — qu’il savait mieux que moi cette
histoire
que je lui contais. — Permettez, dit-il gentiment, que je vous répond
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pour seul but d’écraser. Mais ceci est une autre
histoire
.) Ma génération est-elle donc condamnée à subir au double ou au tripl
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toute la presse, est la plus belle absurdité de l’
Histoire
. Comprenez-vous bien de quoi l’on parle ? Contrôler cet objet inerte
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dans sa caisse. Qu’on ne nous raconte donc pas d’
histoires
. Ce qu’il nous faut, c’est un contrôle de l’homme. — Ah ! ça, c’est u
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us tenter d’abandon aux prétendues fatalités de l’
Histoire
. Mais il n’est point de fatalité pour l’homme qui ne recule pas devan
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qui accepte les risques de son choix. Laissons l’
Histoire
telle qu’on la simplifie en courbes ascendantes et descendantes. Tout
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lus caractérisé ! L’Européen, que vingt siècles d’
histoire
accoutumèrent à trouver le tiroir vide neuf fois sur dix, réagit d’un
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i il tiendra le coup. v. Rougemont Denis de, «
Histoire
de singes ou deux secrets de l’Europe », Servir, Lausanne, 16 mai 194
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tre œuvre elle-même. Pour la première fois dans l’
histoire
du monde, nous pouvons calculer le prix de revient d’une destruction
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issement Votre refuge est dans la masse et son
Histoire
. Vous vous dites en secret qu’elle ne peut pas mourir, et il est vrai
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pour nous qu’un refus de l’instant éternel. Et l’
Histoire
tout entière dans l’acte de ce oui, se manifeste au Jour de tous les
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temps et le vôtre à fonder en logique, et, dans l’
Histoire
, cette relation que le premier venu peut détecter dans sa conscience,
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ys quand il bombarde, d’un siècle quand il cite l’
histoire
, d’un ordre spirituel quand il critique un livre. Ce qu’il ne tolère
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Rien de nouveau, c’est toujours les mêmes petites
histoires
… » Depuis des mois, c’est ce que répètent dix fois par jour les usage