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moitié du xviiie siècle. Sa prose est vague, ses
interprétations
sont hasardeuses, mais il a le mérite d’en avoir proposées. Ses disci
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mps : quant au dessin des cartes, et quant à leur
interprétation
, les variations paraissent avoir été aussi nombreuses que les famille
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. C’est un abus inqualifiable, si l’on sait que l’
interprétation
de chaque lame ou arcane majeur peut être profondément différente sel
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es lames reproduites ci-après quelques exemples d’
interprétations
fort diverses : il serait aisé (et désirable) de les multiplier à pro
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uilles et des glands. Le Fou, arcane 0 a)
Interprétation
d’Elie Alta d’après Etteilla : Le grelot de la Folie s’adapte ind
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ence, absence, distraction, nullité, vain. b)
Interprétation
de E. Whitney, d’après diverses traditions : Vue sous un certain
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, cette quête n’est que folie et non-sens. c)
Interprétation
moderne de B. McM. Hazard (résumé) La clef 0 doit exprimer un éta
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plus subjectifs de l’homme individualisé. d)
Interprétation
de Heinrich Zimmer (extraite d’un ouvrage posthume, non encore publié
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tarot ! La Roue de Fortune, arcane 10 a)
Interprétation
d’Elie Alta, d’après Etteilla : La lettre Iod se rapporte à la pl
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croît, croissance, végétation, production. b)
Interprétation
de B. McM. Hasard (résumé) : La clef 10 termine le cycle collectif