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Les libertés civiques et l’esprit militaire n’ont
jamais
été en contradiction. Depuis les temps les plus anciens, les Suisses
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e. Le vrai Confédéré est celui qui ne questionne
jamais
pour ce qui a trait à la défense du sol quand cela est raisonnable. À
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. Ah ! puissions-nous aimer l’amour assez pour ne
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avoir recours à ces remèdes, car définir l’amour ce n’est point le co
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herons ? Au terme de la fuite, nous ne toucherons
jamais
qu’un impossible fascinant. Et nous vivrons dès lors dans le vertige
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t point risquent fort de se rendre antipathiques.
Jamais
la foule n’a jugé ridicule que l’on affiche un amour de la gloire mêm
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et amusant. Je veux ma gloire, et je ne l’avoue
jamais
, — je fais le modeste — d’où vient cette pudeur ? Je ne veux pas la g
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égner. Des lois adroites et humaines ne suffiront
jamais
à l’assurer : il y faut ce climat sentimental, cette espèce de nature
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oit d’aimer, cette bonté humaine plus inutile que
jamais
, dominatrice et bafouée. II. — Le dernier printemps de la paix
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seront lointaines, ou même ils ne les connaîtront
jamais
… Paris, 12 mai 1939 Quatrième changement de domicile depuis le début
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secrets, pour d’autres qui peut-être ne viendront
jamais
? Car la carte des pays libres, hier encore presque aussi vaste que l
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souvenir de sa perte ? Mais le passé ne reviendra
jamais
, ce bon vieux temps que je sentais présent — un an déjà ! comme dans
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pas cela, les jeunes Allemands, on ne leur avait
jamais
parlé du vrai peuple de la vraie France. Ils ont continué à le piller
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; — là où l’homme veut être total, l’État ne sera
jamais
totalitaire. Un certain nombre de mots-clés se retrouvent dans tous l
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e le seul officier de réserve français qui se fût
jamais
blessé avec son propre sabre ! Les pionniers du service civil donnère
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ais l’autre est pire, et j’ai choisi sans hésiter
jamais
. On peut appeler le premier démocrate et le second totalitaire. On pe
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era le sens du sacrifice ? Pour qui ? Pour quoi ?
Jamais
l’humanité ne fut moins préparée pour la paix, car jamais elle ne fut
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’humanité ne fut moins préparée pour la paix, car
jamais
elle ne fut plus dépourvue de respect pour les vertus que l’esprit se
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uissance de terreur dont nous n’avions sans doute
jamais
eu l’expérience. Et pourtant c’est une part de nous-mêmes qui machine
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C’est pourquoi, prenons garde, s’il nous advient
jamais
de rencontrer quelqu’un qui ne soit rien, ni homme d’affaires, ni pro
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onne d’imiter la vie, qui ne commence et ne finit
jamais
. Force lui est donc d’entrer comme par hasard, au milieu d’une situat
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limite, il serait impossible qu’un lecteur tombe
jamais
d’accord avec l’auteur. Car il n’est pas deux expériences humaines su
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lque chose qui n’en finit plus, car la vie ne met
jamais
de point final. Il y a jeu quand les conséquences s’épuisent avec le
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non pas quelque dieu, ni le Destin. Il n’y aurait
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de coup de fondre sans ce désir que vous entretenez par vos romans… M
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L’après-midi, je vous le répète, nous ne parlions
jamais
. Le soir, j’avais mes conférences ou un dîner. Et je passais le reste
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de tes nouvelles, je suis inquiet, je n’oublierai
jamais
les nuits extraordinaires que nous avons encore pu passer ensemble, à
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« réaliser personnellement ». Or nous ne pourrons
jamais
la recevoir d’autrui. Sans elle les autres libertés ne comptent guère
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savait depuis un certain temps mais qu’on n’avait
jamais
très bien compris, à savoir que la terre est ronde. D’où il résulte,
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e fut « Saint-Ex ». À Dieu ne plaise que j’oublie
jamais
celui qui le premier me parla de la Planète comme d’un amour et d’une
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ublier que leur expérience démontre qu’on ne pare
jamais
qu’un certain pourcentage des coups tirés… Pensez-vous que les effets
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simple. La Bombe est un objet. Les objets ne sont
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dangereux. Ce qui est dangereux, horriblement, c’est l’homme. C’est l
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. Le nomade n’aime pas sa terre, n’y revient donc
jamais
vraiment. Le paysan n’aime que sa terre, ne l’aime donc pas de la mei
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as de ces épreuves-là précisément, car on n’avait
jamais
rien vu de pareil — mais de quelque chose de plus profond, qui défini
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savait depuis un certain temps mais qu’on n’avait
jamais
très bien compris, à savoir que la terre est ronde. D’où il résulte,
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ation. Et cela ne signifie point que nous n’ayons
jamais
pensé à notre mort avec une rapide angoisse — nous y pensons bien plu
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ute ne pensons-nous qu’à elle — mais nous n’avons
jamais
pu penser notre mort. Contester là-dessus serait fournir l’aveu d’une
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endre abstraite et lointaine, à la chasser à tout
jamais
dans un futur indéfini. Ainsi de l’homme, ainsi de l’humanité. Pourta
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savaient que rien ne peut finir tout à fait et à
jamais
qu’au prix de cela justement qu’il n’était point permis d’imaginer. C
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ui impose maintenant, bien plus violent qu’il n’a
jamais
osé l’imaginer. Car, dit-il, au sein d’un tel choix, je m’approche in
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ec les mœurs des Européens qu’on perd l’espoir de
jamais
faire comprendre les uns aux autres. L’ordre des valeurs morales me s
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à Lisbonne une lady me disait : « Nous ne serons
jamais
battus, parce que nous sommes un peuple qui ne sait pas quand il est
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i près, avant les gratte-ciel, la statue… Je n’ai
jamais
eu la sensation d’un paysage plus étranger, mais plus étrangement acc