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s plus curieux malentendus entre un auteur et ses
lecteurs
. Or il se peut que ce soit l’attitude de la plupart des écrivains mod
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e nom de Dieu — Jahvé). On voudrait conseiller au
lecteur
de détruire radicalement tout jeu de ce genre sur lequel il pourrait
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artes moderne. Bornons-nous à livrer à l’étude du
lecteur
les hypothèses suivantes : Selon A. E. White (Key to the Tarot) : les
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rève indication peut suffire à faire entrevoir au
lecteur
l’importance réelle du tarot, indépendamment des usages pittoresques,
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e, Obermann, Dominique. Ces récits intéressent le
lecteur
s’il se retrouve dans le héros. La part de l’art y est réduite à cell
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emblable. À la limite, il serait impossible qu’un
lecteur
tombe jamais d’accord avec l’auteur. Car il n’est pas deux expérience
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ore de son propre roman, M. Romains ajoute : « Le
lecteur
se demandera : où cela va-t-il ? Des personnages se perdent… » Mais,
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t ou à la complication croissante des règles. (Le
lecteur
de romans policiers devient très vite un spécialiste.) Et cette rhéto
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tère si l’on songe que la femme du banquier était
lectrice
de romans — et sans doute de vos propres romans ?… Et ce coup de foud
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toute œuvre qui laisse son auteur intact, et son
lecteur
à son confort. Vaine et mauvaise toute œuvre qui ne te saisit pas com