1 1943, Articles divers (1941-1946). La gloire (mars 1943)
1 s plus curieux malentendus entre un auteur et ses lecteurs . Or il se peut que ce soit l’attitude de la plupart des écrivains mod
2 1945, Articles divers (1941-1946). Présentation du tarot (printemps 1945)
2 e nom de Dieu — Jahvé). On voudrait conseiller au lecteur de détruire radicalement tout jeu de ce genre sur lequel il pourrait
3 artes moderne. Bornons-nous à livrer à l’étude du lecteur les hypothèses suivantes : Selon A. E. White (Key to the Tarot) : les
4 rève indication peut suffire à faire entrevoir au lecteur l’importance réelle du tarot, indépendamment des usages pittoresques,
3 1945, Articles divers (1941-1946). Les règles du jeu dans l’art romanesque (1944-1945)
5 e, Obermann, Dominique. Ces récits intéressent le lecteur s’il se retrouve dans le héros. La part de l’art y est réduite à cell
6 emblable. À la limite, il serait impossible qu’un lecteur tombe jamais d’accord avec l’auteur. Car il n’est pas deux expérience
7 ore de son propre roman, M. Romains ajoute : « Le lecteur se demandera : où cela va-t-il ? Des personnages se perdent… » Mais,
8 t ou à la complication croissante des règles. (Le lecteur de romans policiers devient très vite un spécialiste.) Et cette rhéto
4 1946, Articles divers (1941-1946). Contribution à l’étude du coup de foudre (1946)
9 tère si l’on songe que la femme du banquier était lectrice de romans — et sans doute de vos propres romans ?… Et ce coup de foud
5 1946, Articles divers (1941-1946). Penser avec les mains (janvier 1946)
10 toute œuvre qui laisse son auteur intact, et son lecteur à son confort. Vaine et mauvaise toute œuvre qui ne te saisit pas com