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neurs, leur armée a été un groupement de citoyens
libres
, possédant chacun ses propres armes et portant fièrement son fusil, s
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u Moyen Âge germanique. À cette époque, l’« homme
libre
», — celui qui n’était pas un serf, — se distinguait par ce fait : il
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s les temps les plus anciens, les Suisses étaient
libres
parce qu’ils étaient forts, et ils étaient forts parce qu’ils étaient
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forts, et ils étaient forts parce qu’ils étaient
libres
. La possession par chaque citoyen de ses propres armes, montre d’une
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nt comparable au vertige. Le jugement peut rester
libre
, mais il semble que l’âme s’extériorise et tombe sans fin dans le reg
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-être ne viendront jamais ? Car la carte des pays
libres
, hier encore presque aussi vaste que la terre, se rétrécit de jour en
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civil serait mise par l’État à la disposition des
libres
entreprises, syndicats ou coopératives, qui justifieraient leur utili
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vital gratuit pour tous. Le second devait rester
libre
, et d’autant plus qu’il recevrait l’aide gratuite du service civil. L
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vre et du bonus social, au profit des entreprises
libres
et des groupes coopératifs. La notion de groupe L’un des traits
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e juin 1940 et la suppression de toute expression
libre
par Vichy, la revue Esprit vit son tirage quintupler en quelques mo
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Denis de, « L’attitude personnaliste », Le Monde
libre
, New York, Montréal, octobre 1944, p. 69-72.
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mauvaise, insincère, et contraire à l’inspiration
libre
. Dans ses recettes magiques et artifices profonds, elle ne vit que re
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eillaient des forces endormies. Le conte était le
libre
déploiement des réalités mêmes de l’âme, qu’il décrivait en personnag
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in de cette guerre, se rapprocheront des types de
libre
création, des paraboles que furent en d’autres temps Gargantua, Don Q
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toujours des obstacles. Ceux qui ont peur d’être
libres
en feront leurs prétextes comme l’ont fait les Allemands sous l’hitlé
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les rendrons tels, aussitôt nous cesserons d’être
libres
. Et l’État aura tous les droits, puisque nous lui laisserons tous les
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rès bien arrangées). Ce qu’il nous faut pour être
libres
, uniquement et tout simplement, c’est du courage. Car nous sommes lib
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out simplement, c’est du courage. Car nous sommes
libres
, si nous sommes prêts à payer le prix de la liberté, qui sera toujour
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ui sera toujours : payer de sa personne. Un homme
libre
, c’est un homme courageux, non pas un homme qui aurait reçu (de qui ?
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six libertés. On entend dire : « X… est un esprit
libre
. » De qui tient-il sa liberté ? Ni de l’État, ni de la Révolution, ni
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la joindre. Lénine, sous le tsarisme, était plus
libre
qu’un fonctionnaire sous Staline. Et George Washington était plus lib
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ire sous Staline. Et George Washington était plus
libre
qu’un citoyen américain qui tourne le bouton de sa radio. Ils combatt
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squ’on pose le problème. Supposez que nous soyons
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de circuler à notre guise. Je répondrais sans hésiter : il ne s’agit
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u que votre arrivée, justement, pour donner enfin
libre
cours à ses puissances instinctives de cordialité et d’hospitalité.