1 1941, Articles divers (1941-1946). Reynold et l’avenir de la Suisse (1941)
1 rgeois. L’ère de la bourgeoisie, ère du « confort moderne  » et de l’absence d’imagination réaliste, prolonge encore dans la vie
2 1942, Articles divers (1941-1946). La leçon de l’armée suisse (4 mars 1942)
2 e. Imaginez ce qui arriverait dans certains États modernes , en proie à des luttes sociales ou politiques, si les soldats démobil
3 médiévale est devenue, ainsi, la méthode la plus moderne de défense. C’est la clé de l’organisation de l’armée suisse et le se
3 1943, Articles divers (1941-1946). La gloire (mars 1943)
4 ue ce soit l’attitude de la plupart des écrivains modernes .) J’ai vécu pour la gloire — dit le prince André — et qu’est-ce que
5 i seul serait capable de se la décerner ? L’idée moderne de la gloire nous vient, dit-on, de la Renaissance. Glorieux est celu
6 de vulgaire. De fait, je ne connais pas de gloire moderne dont on ne puisse démontrer par quels moyens elle fut acquise : toujo
7 qui a de la valeur ; on ne le sait pas. La gloire moderne , c’est à peu près l’inverse. Mais ne serait-ce pas aussi le meilleur
4 1944, Articles divers (1941-1946). Quelle guerre cruelle (octobre-novembre 1944)
8 s, la guerre est le « grand Temps » de l’humanité moderne . Elle nous fournit la seule excuse que notre esprit puisse accepter p
9 : pour qu’un peuple subsiste. Toute la sociologie moderne le prouve. À son défaut, Hitler l’aurait fait voir par le moyen de ce
5 1945, Articles divers (1941-1946). Présentation du tarot (printemps 1945)
10 haut et tête en bas) à l’instar du jeu de cartes moderne . C’est un abus inqualifiable, si l’on sait que l’interprétation de ch
11 verset des psaumes de David et les psychanalystes modernes  : 14. une des quatre facultés (pensée, intuition, sentiment, sensatio
12 la Mort. » 4. Correspondances avec les cartes modernes Les interprètes contemporains diffèrent d’une manière décourageant
13 es tarots et les quatre couleurs du jeu de cartes moderne . Bornons-nous à livrer à l’étude du lecteur les hypothèses suivantes 
14 vés, et le plus souvent charlatanesques, dont les modernes ont cru pouvoir se rendre maîtres. Terminons sur une anecdote. Le len
15 ’est que folie et non-sens. c) Interprétation moderne de B. McM. Hazard (résumé) La clef 0 doit exprimer un état de pré
6 1945, Articles divers (1941-1946). Les règles du jeu dans l’art romanesque (1944-1945)
16 nnées vraisemblables. À cet instant naît le roman moderne . À partir du xviiie siècle, le roman se sépare volontairement du con
17 reçue sans le moindre étonnement par la critique moderne et par le grand public. Elle rend compte de l’insignifiance, au sens
18 révèlent également ruineuses. 1°) — Le romancier moderne a perdu l’autorité magique du conteur. Il s’est privé volontairement
19 monies d’introduction et de sortie3, le romancier moderne veut créer l’illusion du réel quotidien. Pourtant il ne dispose que d
20 le faire oublier. D’où cet axiome de la critique moderne  : un roman ne doit pas être « écrit ». Tous ces efforts trahissent le
21 onséquences indéfinies. L’hésitation du romancier moderne à terminer son livre par une décision de l’esprit ou par un artifice
7 1946, Articles divers (1941-1946). Faut-il rentrer ? (4 mai 1946)
22 ’enorgueillir. Ils représentent dans l’esprit des modernes la Fatalité imbécile. Pourquoi donc les acceptons-nous, comme des mou
8 1946, Articles divers (1941-1946). Histoire de singes ou deux secrets de l’Europe (16 mai 1946)
23 re. Il pressent que le sort, la science, le monde moderne et sa prospérité ne sont pas les garants infaillibles d’un bonheur qu
9 1946, Articles divers (1941-1946). Deux lettres sur le gouvernement mondial (4 juin 1946)
24 supprimez ces trois éléments qui composent l’idée moderne de nation, et les nations réelles subsisteront intactes, comme membre