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rgeois. L’ère de la bourgeoisie, ère du « confort
moderne
» et de l’absence d’imagination réaliste, prolonge encore dans la vie
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e. Imaginez ce qui arriverait dans certains États
modernes
, en proie à des luttes sociales ou politiques, si les soldats démobil
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médiévale est devenue, ainsi, la méthode la plus
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de défense. C’est la clé de l’organisation de l’armée suisse et le se
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ue ce soit l’attitude de la plupart des écrivains
modernes
.) J’ai vécu pour la gloire — dit le prince André — et qu’est-ce que
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i seul serait capable de se la décerner ? L’idée
moderne
de la gloire nous vient, dit-on, de la Renaissance. Glorieux est celu
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de vulgaire. De fait, je ne connais pas de gloire
moderne
dont on ne puisse démontrer par quels moyens elle fut acquise : toujo
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qui a de la valeur ; on ne le sait pas. La gloire
moderne
, c’est à peu près l’inverse. Mais ne serait-ce pas aussi le meilleur
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s, la guerre est le « grand Temps » de l’humanité
moderne
. Elle nous fournit la seule excuse que notre esprit puisse accepter p
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: pour qu’un peuple subsiste. Toute la sociologie
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le prouve. À son défaut, Hitler l’aurait fait voir par le moyen de ce
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haut et tête en bas) à l’instar du jeu de cartes
moderne
. C’est un abus inqualifiable, si l’on sait que l’interprétation de ch
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verset des psaumes de David et les psychanalystes
modernes
: 14. une des quatre facultés (pensée, intuition, sentiment, sensatio
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la Mort. » 4. Correspondances avec les cartes
modernes
Les interprètes contemporains diffèrent d’une manière décourageant
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es tarots et les quatre couleurs du jeu de cartes
moderne
. Bornons-nous à livrer à l’étude du lecteur les hypothèses suivantes
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vés, et le plus souvent charlatanesques, dont les
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ont cru pouvoir se rendre maîtres. Terminons sur une anecdote. Le len
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’est que folie et non-sens. c) Interprétation
moderne
de B. McM. Hazard (résumé) La clef 0 doit exprimer un état de pré
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nnées vraisemblables. À cet instant naît le roman
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. À partir du xviiie siècle, le roman se sépare volontairement du con
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reçue sans le moindre étonnement par la critique
moderne
et par le grand public. Elle rend compte de l’insignifiance, au sens
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révèlent également ruineuses. 1°) — Le romancier
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a perdu l’autorité magique du conteur. Il s’est privé volontairement
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monies d’introduction et de sortie3, le romancier
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veut créer l’illusion du réel quotidien. Pourtant il ne dispose que d
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le faire oublier. D’où cet axiome de la critique
moderne
: un roman ne doit pas être « écrit ». Tous ces efforts trahissent le
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onséquences indéfinies. L’hésitation du romancier
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à terminer son livre par une décision de l’esprit ou par un artifice
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’enorgueillir. Ils représentent dans l’esprit des
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la Fatalité imbécile. Pourquoi donc les acceptons-nous, comme des mou
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re. Il pressent que le sort, la science, le monde
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et sa prospérité ne sont pas les garants infaillibles d’un bonheur qu
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supprimez ces trois éléments qui composent l’idée
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de nation, et les nations réelles subsisteront intactes, comme membre