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? Voici, l’une des deux pierres sera ta pierre de
Mort
, si tu la choisis seule, et ne veux plus souffrir. III. Le coup de
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que j’ai dans le cœur, il est évident que je suis
mort
. Et si vous me dites que la balle n’est pas plus réelle que ce qui s’
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? Gloire et lumière, gloire ou mystère, gloire et
mort
lumineuse, gloire et ce triomphal accord clamé, ou cet instant plutôt
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et ces cérémonies. Elle considère comme un poids
mort
nos formules de présentation ou de congé. Un article de magazine amér
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e issue que la nuit, mais viendra-t-elle après ma
mort
ou avec elle ? Si c’est avant, où aller, où rester, où demeurer quand
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ntre moi, voulant quoi, sans relâche ? voulant ma
mort
à moi. C’est sérieux, cette fois-ci ça y est !… Vivant un cauchemar q
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i est vrai, nous allons en désordre au réveil. La
mort
, le désespoir en plein midi, — ou la reconnaissance de l’unique néces
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mal. Va-t-il vivre ? A-t-il rêvé ? Serait-il déjà
mort
? J’ai vu l’Espagne de cendre et d’esprit, incapable de retrouver son
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su garder en vie tant de passé, et garder tant de
morts
dans la présence, elle ne cessera pas d’engendrer. Elle a maîtrise d’
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iens et qu’ils tolèrent les hérétiques), c’est la
mort
sous les balles pour la Patrie ou pour le parti. Mais s’il n’y a plus
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ulte ? La maladie mortelle, un moindre mal que la
mort
qui la termine ? 12. Les méfaits de la psychologie rationaliste ont
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s majeures : l’Homme (Le Bateleur), le Fou, et la
Mort
. » 4. Correspondances avec les cartes modernes Les interprètes
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ts observables. Le roman mourra donc, comme sont
mortes
la tragédie classique et les chroniques en vers. Il mourra pour avoir
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mesure peut se rebeller comme l’esprit devant la
mort
… Mais admettons que j’ai exagéré : c’était fatal. Écrire, c’est mettr
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st-ce qu’on lui demande si elle est prête pour la
mort
? L’humanité, ce sont des gens comme vous et moi. Quand vous me dites
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de choisir la paix, vous votez tacitement pour la
mort
, et vous en rendez responsable. Tout tient à chacun de nous. Et nous
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ter : il ne s’agit ni de choisir une terre et ses
morts
contre le Globe et ses vivants ; ni de choisir le nomadisme permanent
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i pensez, un jour ne serez plus, un jour serez un
mort
. Si « macabre » désigne assez bien l’étrangeté de la mort des autres,
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« macabre » désigne assez bien l’étrangeté de la
mort
des autres, cela ne saurait en aucun cas se dire de sa propre mort, d
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cela ne saurait en aucun cas se dire de sa propre
mort
, de la mienne. Et non plus, à mon sens, de la méditation que je pours
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nifie point que nous n’ayons jamais pensé à notre
mort
avec une rapide angoisse — nous y pensons bien plus que nous n’osons
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à elle — mais nous n’avons jamais pu penser notre
mort
. Contester là-dessus serait fournir l’aveu d’une impuissance à compre
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e le mot penser dans son sens fort. Car penser sa
mort
réellement, ce serait aussitôt mourir. Peut-être avons-nous là le seu
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uisse être ni rapportée ni répétée. Perfection et
Mort
en ceci se confondent, qu’elles sont absolument tragiques, c’est-à-di
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? Car si nous restons impuissants à penser notre
mort
dans le vif, ce phénomène doit normalement être aperçu comme négligea
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sez gratuite. Ma nature crie à l’utopie devant ma
mort
. De là vient que l’humanité, dans son ensemble, résiste instinctiveme
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gement ? S’il nous vient à l’idée de penser notre
mort
, c’est la Mort en nous qui se pense, c’est la Crise déjà qui affleure
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ous vient à l’idée de penser notre mort, c’est la
Mort
en nous qui se pense, c’est la Crise déjà qui affleure, nous avertit
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nouvelle illuminait. Sans la vie, que dire de la
mort
? Et sans la Fin, que dire de la durée ? Mais tout se mêle encore con
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à ce niveau de vie moyenne qui paraît offrir à la
mort
, comme à tout acte créateur, le moins de chances. Un vaste système d’
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des hautes pentes. Car celui seul qui accepte la
mort
n’est pas le jouet du vertige. Le temps vient où les hommes n’auront
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de vient de passer à une vaste conversation de la
mort
, sur les places et dans les grands cafés, aux lieux de populace et de
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a majorité sut garder l’air de ne pas croire à sa
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proche, — cet air petit. On en reviendrait bien, de cette fin du mond
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collective, d’une poussée subite de l’instinct de
mort
. On proposait une cure des masses et la nationalisation des écoles de
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en répondit : — L’affection de la chair, c’est la
mort
. Saint Paul l’a vu bien avant Freud, et mieux. Il entendait par « cha
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comprises. Et ce n’est point que nous aimions la
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comme telle. Bien au contraire, ce qu’affectionne la chair, c’est ce
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hair, c’est ce qui, croit-elle, la détourne de la
mort
. C’est la vie telle que vous la cultivez, qui conduit à la mort et la
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vie telle que vous la cultivez, qui conduit à la
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et la mérite. Nous sommes tout simplement au jour du Jugement. Il ser
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it bien ce qu’on faisait. Ainsi tous connurent la
mort
, mais les uns renaissaient au sein de leur plus grande frayeur, les a
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qui vous fîtes imprudemment lire ma lettre sur la
mort
de la guerre militaire par suite de l’invention de la bombe atomique,
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e réagir à la souffrance. Prenons l’exemple de la
mort
à la guerre. Le Français, élevé dans l’idée que dulce et decorum est
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bien au contraire, considère la souffrance et la
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comme des accidents insensés, que rien au monde ne peut rendre accept
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su garder en vie tant de passé, et garder tant de
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dans la présence, elle ne cessera pas d’engendrer. Elle a maîtrise d’
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mal. Va-t-il vivre ? A-t-il rêvé ? Serait-il déjà
mort
? J’ai vu l’Espagne de cendre et d’esprit, incapable de retrouver son