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’auteur de Conscience de la Suisse, c’est d’avoir
osé
porter sur l’avenir immédiat de ce pays un jugement pessimiste. Les p
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ous ouvrent, sur quel ciel, les symphonies ? Je n’
ose
pas dire que je veux être Dieu. Ce serait là, pourtant, ma vérité, la
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voudrais la gloire et ne sais pas pourquoi ? Ou n’
ose
pas savoir pourquoi… Ce que je n’ose pas savoir est angoisse. Angoiss
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rquoi ? Ou n’ose pas savoir pourquoi… Ce que je n’
ose
pas savoir est angoisse. Angoisse est le nom du secret que je sers sa
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e. Angoisse est le nom du secret que je sers sans
oser
le servir, parce que je sais que son nom est mensonge, et que c’est m
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ser, par une espèce de symbolisme abstrait — si j’
ose
dire — à la formule mathématique ; d’autre part, et voilà qui est rem
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, un prophète sans mission divine, quelle défense
osera-t
-il produire qui ne soit pas aussi son jugement ? 6. Ces deux dialog
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pour tromper sa faim, faute de mieux. La raison n’
ose
pas dire qu’il a tort d’avoir faim. Dira-t-elle qu’il a tort d’avoir
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de angoisse — nous y pensons bien plus que nous n’
osons
le croire, sans doute ne pensons-nous qu’à elle — mais nous n’avons j
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? Ce sont des idéaux de ligues, des mots qu’on n’
ose
plus employer qu’au dessert. La richesse ? Voici qu’elle n’est plus à
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se maintenant, bien plus violent qu’il n’a jamais
osé
l’imaginer. Car, dit-il, au sein d’un tel choix, je m’approche insond
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on sacrée du genre humain ? Eh bien, madame, si j’
ose
le dire : vous êtes servie. II. L’État-nation Non, je n’en veux
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quez l’hypocrisie du terme « nationaliser ». On n’
ose
pas dire « étatiser ». On veut encore tirer parti du prestige qui s’a
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i qui demande à voir. (La prochaine fois que vous
oserez
me dire que le Social Register de New York n’est qu’un Bottin mondain