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es n’étouffent leurs champs. J’ai vu renaître les
paniques
dévastatrices du ve siècle de notre ère. Et je songe au bastion que
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ntinué à le piller et à le fusiller avec une rage
panique
; ils continuent, mais ils se savent battus. Depuis qu’ils ont rencon
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es n’étouffent leurs champs. J’ai vu renaître les
paniques
dévastatrices du ve siècle de notre ère. Et je songe au bastion que