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e vais tirer ! b. Rougemont Denis de, « Trois
paraboles
», Lettres françaises, Buenos Aires, 1 octobre 1941, p. 9-12.
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parabolique… De là vient son obscurité. Parler en
paraboles
, c’est tenter d’exprimer un fait ou des idées, en tenant compte du to
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iées par voie de conséquence. Mais si je parle en
paraboles
, je n’ai souci que d’une certaine orientation. C’est à partir du term
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éments que j’aurais distingués dès le départ. Une
parabole
se comprend par la fin. Comme l’expédition de Colomb partant pour rec
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. L’événement seul lui rendra sa raison. Ainsi la
parabole
est une énigme dont le sens est dans la vision. C. Comment expliquez
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e plaisir que je prends à la lecture de certaines
paraboles
dont le sens eschatologique m’échappe, je le suppose, absolument ? A
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jour à une petite-fille pourquoi Jésus parlait en
paraboles
à ses disciples, sachant qu’ils ne comprendraient pas. Voici la répon
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estion, voulez-vous ? Qui a le droit de parler en
paraboles
, et d’être obscur à la manière des prophètes ? A. Le droit ? Personn
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it parler la langue des prophètes et composer des
paraboles
. Si ses prophéties sont décevantes et ses paraboles sans fruit, il n’
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raboles. Si ses prophéties sont décevantes et ses
paraboles
sans fruit, il n’en est pas moins un prophète. Mais alors on le juger
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se rapprocheront des types de libre création, des
paraboles
que furent en d’autres temps Gargantua, Don Quichotte, Robinson Cruso
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e « la » liberté, ou non. Je le prouverai par une
parabole
. Je connais certains hommes qui jouissent en fait des quatre libertés
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es récentes deux résultats qui prennent figure de
paraboles
: ils me paraissent propres à nous persuader de la fécondité de certa
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expérience récente peut nous fournir une seconde
parabole
du siècle. Cela se passe on Russie, dans l’école de Pavlov, auteur de