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e anxieuse. Mais il est une manière imaginable de
parler
de l’amour sans malice : c’est de former quelques rythmes de phrases
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r même est chose du silence. Cela dont je ne puis
parler
sans l’offenser dans sa grandeur, c’est ce qui m’enflamme à parler. R
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enser dans sa grandeur, c’est ce qui m’enflamme à
parler
. Rien ne peut être dit de l’amour même, mais rien non plus n’est dit
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se. Quittons ce temple où dorment deux idoles, et
parlons
le langage du Jour. d. Rougemont Denis de, « Angérone », VVV, New
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nt pour glorieux que ceux qui prennent le soin de
parler
de leur gloire. Chateaubriand eut de la gloire, mais non Stendhal. Ma
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anité, le mieux pour s’en débarrasser serait d’en
parler
ouvertement. Comme un menteur qui dirait : « Je vous avertis que je v
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e la résistance à l’intérieur du pays occupé nous
parlent
du peuple de France ; les récits et les témoignages qui ont été publi
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résistance et qui parviennent sous nos yeux nous
parlent
du peuple de France ; et les films composés à Hollywood ou à Londres
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la, les jeunes Allemands, on ne leur avait jamais
parlé
du vrai peuple de la vraie France. Ils ont continué à le piller et à
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s vous jouez sur des surprises, ou bien vous nous
parlez
d’idées, et dans ce cas, il faut que nous pensions à chaque instant :
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nnera quelque tricherie. A. Voulez-vous que nous
parlions
de la clarté ? Je crois deviner que cela nous ramènera dans les envir
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le » en soi ? Le monde dans lequel nous vivons et
parlons
n’est-il pas, comme l’a dit un Russe « le monde de l’imprécis et du n
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un certain système d’images. S’il se distingue du
parler
quotidien, c’est avant tout par cette cohérence, c’est-à-dire par cet
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légale n’étant, c’est entendu, qu’une manière de
parler
du réel, et sans cesse corrigée par les faits. Mais où je crie à la t
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une pensée qui m’est curieusement étrangère. Vous
parliez
d’une vision totale ?… A. L’expression vous apparaît privée de sens
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fois, toute l’ampleur de ma déraison. Laissez-moi
parler
sans contrainte mon sabir eschatologique. Je disais donc que la déduc
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u langage parabolique… De là vient son obscurité.
Parler
en paraboles, c’est tenter d’exprimer un fait ou des idées, en tenant
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phrases liées par voie de conséquence. Mais si je
parle
en paraboles, je n’ai souci que d’une certaine orientation. C’est à p
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mandais un jour à une petite-fille pourquoi Jésus
parlait
en paraboles à ses disciples, sachant qu’ils ne comprendraient pas. V
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petite question, voulez-vous ? Qui a le droit de
parler
en paraboles, et d’être obscur à la manière des prophètes ? A. Le dr
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es et graves raisons qu’il y a de se taire, ou de
parler
seulement selon le droit et la décence, en toute clarté. Il arrive qu
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e. Je dis que l’homme qui a vu quelque chose doit
parler
la langue des prophètes et composer des paraboles. Si ses prophéties
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de haut en bas, dans un fulgurant inventaire. Je
parle
de visions furtives qui sont à celle de l’apôtre comme le Petit Monde
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faut pourtant pas davantage pour nous réduire au
parler
prophétique. C’est le même risque, et ce n’est pas la même grandeur…
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des conclusions analogues : il n’est possible de
parler
de réalité, de mesure, ou d’efficacité, qu’au sein d’un groupe donné
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es principes d’une politique psychologique. Je ne
parle
pas de propagande : celle-ci n’est qu’une tactique de bombardement. L
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e sang, terreur froide, ou goût du suicide. Ne me
parlez
pas de droits, vous n’y avez pas pensé. Nous avons « fait notre devoi
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as, tu diras de faux témoignages avec honneur. Je
parle
d’état d’exception comme on dirait état de siège, état de grâce. Et l
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caoutchouc) qu’est le national-socialisme. Je ne
parle
pas ici du christianisme, mais de la religion en général, comme phéno
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cause et produit de toute communauté vivante. Je
parle
d’un instinct aussi fondamental et naturel que la sexualité. Il est i
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tarot est soutenue par Etteilla, dont nous allons
parler
, par d’Odoucet son premier disciple, et par Éliphas Levi. Elle a été
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orance ou l’abus en ont fait aujourd’hui l’art de
parler
pour ne rien dire. Rhétorique est devenue synonyme d’éloquence creuse
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e synonyme d’éloquence creuse et de clichés. J’en
parlerai
dans un tout autre sens. Je voudrais désigner par rhétorique l’ensemb
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scandaleusement paradoxal, il n’hésite pas à nous
parler
des artifices d’une « rhétorique profonde ». Au milieu du xviiie si
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on allègue, ne serait-elle point un alibi ? Je ne
parle
que du vrai coup de fondre, celui qui est suivi d’incendie. Car pour
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uan pour impressionner ses victimes. Il en a tant
parlé
, et vous autres après lui, que toutes les femmes qui vont le rencontr
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pas l’instantané, il veut la pose… Tandis que je
parlais
ainsi, une espèce de gêne me vint, le sentiment de mal tomber. Il me
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en avion… Le banquier comprend très bien cela. Il
parle
beaucoup pour me réconforter, raconte avec vivacité comment il a orga
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udapest. L’après-midi, je vous le répète, nous ne
parlions
jamais. Le soir, j’avais mes conférences ou un dîner. Et je passais l
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ir, sauf quelques heures pendant la matinée. Nous
parlions
avec mon ami d’art, de religion, de politique, des perspectives du no
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se demander : Comment peut-on être Français ?) Je
parlais
d’une conscience planétaire. C’est sa nécessité qu’il faut d’abord se
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laise que j’oublie jamais celui qui le premier me
parla
de la Planète comme d’un amour et d’une souffrance intime !… r. Ro
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angereuse du tout. — Êtes-vous fou ? De quoi donc
parliez
-vous dans vos cinq dialogues précédents ? Faut-il penser que vous vou
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encore, quoi qu’en pensent quelques généraux. Je
parlais
de la fin du monde… — Et maintenant vous nous dites : aucun danger !
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é de l’Histoire. Comprenez-vous bien de quoi l’on
parle
? Contrôler cet objet inerte ? C’est comme si tout d’un coup l’on se
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M. de Rougemont est rentré d’Amérique. Il nous en
parle
simplement, avec ce sens de l’équilibre et de la mesure dont ses ouvr
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u’elle illustre encore aux yeux du monde. Je veux
parler
de la « mémoire » et de l’« expérience historique », qui est celle de
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se demander : Comment peut-on être Français ?) Je
parlais
d’une conscience planétaire. C’est sa nécessité qu’il faut d’abord se
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e Boule que fut « Saint-Ex »13, le premier qui me
parla
de la Planète comme d’un amour et d’une souffrance intime ? Sinon qu’
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se manifeste au Jour de tous les jours. Comme il
parlait
encore, une lueur d’aube apparut et grandit autour d’eux. Toutes chos
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quivoque. Il a deux sens bien différents. Je n’ai
parlé
que du mauvais, jusqu’ici, parce que c’est de beaucoup le plus couran
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z-vous sérieusement que les Français cesseront de
parler
français, de créer leur culture, et d’habiter paisiblement leur terre
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c la préparation à la guerre. Sans doute, mais je
parlais
moins des motifs que des effets inéluctables. Le désir de justice soc
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ale ! » s’écrie un personnage de Giraudoux — sans
parler
des débats sur la laïcité ou les écoles confessionnelles. L’Américain
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is par une sorte de fatalisme inconscient. (Je ne
parle
pas du héros, mais du troupier moyen, sans opinion.) Il pense qu’il f
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e du parti travailliste. Je préfère ne point vous
parler
des traductions. J’en ai environ dix-huit ! ae. Rougemont Denis de