1 ndu, je ne puis avancer aucun exemple d’une telle perfection . Mais il fallait indiquer cette limite pour éclairer — précisément —

2 es lèvres et à révéler le scandaleux secret de sa perfection . Dans la sagesse du Saint-Esprit incarné, il passe, étranger, silenci

3 mpte des règles, soit pour les appliquer avec une perfection classique, soit pour y introduire quelque ingénieuse variation. La fi

4 ir. Peut-être avons-nous là le seul critère d’une perfection intellectuelle, et l’on conçoit que son application ne puisse être ni

5 plication ne puisse être ni rapportée ni répétée. Perfection et Mort en ceci se confondent, qu’elles sont absolument tragiques, c’

6 andissement de la lumière jusqu’aux limites de sa perfection , où tout ce qui voit éclaire aussi, où tout œil rend ce qu’il reçoit,