1 sans malice : c’est de former quelques rythmes de phrases où l’indicible jette par moments une espèce d’émotion ou de gêne, non

2 quelques chiffres impressionnants. C’est la Catch Phrase , la phrase-qui-attrape et qui vous jette de but en blanc dans l’human

3 uyantes, d’activités apparemment désordonnées, de phrases entendues au passage, d’infinis croisements d’existences étrangères.

4 quoi ? C. Assez pour n’être point la dupe de vos phrases . Écrire, et surtout en français, ce n’est pas jouer du violon. Tout d

5 uvant ordonnée à la logique de l’enchaînement des phrases . Autrement dit, le discours cartésien n’a pas de fin qui lui soit tra

6 z au terme de chaque analyse un certain nombre de phrases traduisant les résultats acquis. Or ces phrases ont été choisies par

7 e phrases traduisant les résultats acquis. Or ces phrases ont été choisies par le savant en vertu d’une double exigence : d’une

8 nomène un observateur non savant. Maintenant, ces phrases dans leur ensemble composent un discours cohérent sur des propriétés

9 Il s’organise tout naturellement en discours, en phrases liées par voie de conséquence. Mais si je parle en paraboles, je n’ai

10 s une certaine orientation au moyen de mots et de phrases qui puissent, comme par une ironie, être compris en soi et dans leur

11 rivains avaient encore coutume de débuter par des phrases stéréotypées : « Par une belle matinée de novembre, un voyageur vêtu

12 d’une situation, d’une atmosphère, ou même d’une phrase , « N’importe où et n’importe comment » — c’est à quoi vise son effort

13 sens, de la méditation que je poursuis entre ces phrases , dans cette matinée blanche, typiquement quotidienne, où nulle fatigu

14 écrire ces pages et qui pourrait suspendre ici ma phrase , me jetant dans mon jugement ? S’il nous vient à l’idée de penser not

15 ègne sur nous, depuis peu. Nous essayons, mais en phrases banales de moralistes tardivement ressaisis, d’évaluer les conquêtes

16 oi, et me dit en crachant dans l’eau entre chaque phrase  : « Il y a des gens, des Parisiens, qui trouvent que les Boches sont