1 être mis à la porte ! Naturellement, j’aurais dû pousser la première porte venue, sans y penser, et je serais sorti comme j’ét

2 de respect pour les vertus que l’esprit seul sait pousser jusqu’au paroxysme. Et comment vivre, s’il n’y a plus de paroxysmes ?

3 ’est ce qui va se produire après Balzac. Le roman pousse deux branches d’importance inégale. La première est la monographie :

4 i ne te saisit pas comme avec une main, qui ne te pousse pas hors de toi-même, dans le scandale ou dans la joie de ta vocation

5 oici le principe du second jugement. Chaque homme poussé à la limite de son expression, et chaque homme forcé à l’extrémité de

6 ant pour les églises que pour les universités. On pousse le raffinement jusqu’à construire le chœur en style roman, et la nef