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Mais je rappelle à Monsieur la règle du club : Ni
Questions
Ni Réponses. Je ne savais plus que dire, parce que j’avais une chose
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dit que : Fine day to day, c’eût été une sorte de
question
ou de réponse. Je pensais que le mieux serait de m’en aller sans brui
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e, pourquoi ménager quoi que ce soit ? C’était la
question
par excellence ! Le résumé de toutes mes erreurs, si vous voulez. Je
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Et voici que maintenant, je ne puis plus poser de
questions
. Car si vous me dites que c’est une vraie balle que j’ai dans le cœur
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ns la maison, vous supprimez à la fois toutes les
questions
possibles et donc toute possibilité de réponse à quoi que ce soit. La
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pper une attaque en règle. Il ne serait nullement
question
d’avancer rapidement comme dans les plaines de Flandre ou en Pologne.
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et traversant les lieux publics avec cette grande
Question
qu’il porte dans son être, et qui est aussi la grande réponse ; et le
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clair, à votre avis ? A. Dès que l’on pose cette
question
, il me semble qu’on se voit condamné à des réponses ou plates ou myst
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nd on a faim, on les ouvre. C. Encore une petite
question
, voulez-vous ? Qui a le droit de parler en paraboles, et d’être obscu
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utre attitude de l’être, et qui soit telle que la
question
du droit ne se pose plus. C’est l’attitude de l’homme qui a vu quelqu
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tage. Devant un monde à reconstruire, les grandes
questions
peuvent et doivent être reposées. Allons-nous rebâtir sur les valeurs
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is de l’homme, mesure de toutes choses. La grande
question
était donc : qu’est-ce que l’homme ? Sur quelle notion centrale de so
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ndre d’abord ? Et de comprendre, s’il se peut, la
question
que cette guerre pose et ne peut résoudre. ⁂ Par dépit, par fatigue,
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pensé. Nous avons « fait notre devoir » et pas de
question
. Je dis que la guerre nous plaît. Elle arrange bien des choses. Elle
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ira toujours, au mieux, de moindres maux. Mais la
question
est de savoir si le prétendu moindre mal que l’on défend n’est pas si
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pu copier l’art de tirer les cartes, dont il est
question
, que d’après sa cuisinière. Il était perruquier et se nommait de son
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par nécessité matérielle ? On m’en voudra de ces
questions
, parce qu’elles ne paraissent comporter que des réponses amères et hu
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rubriques créant un appel d’air. Ce n’est pas une
question
d’information d’abord, vous m’entendez, mais de sens, de vision, d’ou
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t… Forçant à peine, je dirais : c’est d’abord une
question
de poésie. Est-ce un hasard si, parmi tous nos écrivains, ceux que je
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direz : que fait Dieu dans tout cela ? Dangereuse
question
: imaginez qu’il vous réponde ? S’il permet que nous fassions sauter
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n contrôle de l’homme. — Ah ! ça, c’est une autre
question
. — C’est la question de l’Autre. C’est la seule. On ne peut plus l’év
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. — Ah ! ça, c’est une autre question. — C’est la
question
de l’Autre. C’est la seule. On ne peut plus l’éviter depuis que la Bo
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pelle ainsi tout ce qui nous rapproche des vraies
questions
, et nous oblige à y faire face. t. Rougemont Denis de, « Dialogues
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n’y inviteraient. Je m’interroge. Je reprends la
question
dans les termes où elle est posée : faut-il partir ? (Peut-on partir
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ngé de sens. Il a perdu son aura dramatique. Plus
question
de couper les ponts, de brûler les pénates, et autres rites attestant
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u fous… Ils chantent dans la rue, vous posent les
questions
les plus indiscrètes, entrent chez vous sans frapper, vous déclarent
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rubriques créant un appel d’air. Ce n’est pas une
question
d’information d’abord, qu’on m’entende bien, mais de sens, de vision,
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t… Forçant à peine, je dirais : c’est d’abord une
question
de poésie. Est-ce un hasard si, parmi tous les écrivains français, ce
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sera un meilleur gouvernement ? (Je vous pose ces
questions
simplistes pour répondre à vos craintes vagues.) Ce qui détruit aujou
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ges périodiques. Autre exemple. Pourquoi n’est-il
question
que de « nationaliser » tout ce qui peut l’être à l’intérieur des fro
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’ailleurs qu’il n’y paraît. Car l’une des grandes
questions
du siècle est sans doute celle de ne point laisser nos moyens matérie
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salaires en toute simplicité, on divorce pour des
questions
de cuisine, on se console vite, on n’admet pas la jalousie. Le « réal
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ande de remplir des questionnaires comportant des
questions
de ce genre : « Buvez-vous ? Modérément ? À l’excès ? Fumez-vous ? Av