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y est évidemment. Mais je rappelle à Monsieur la
règle
du club : Ni Questions Ni Réponses. Je ne savais plus que dire, parce
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isse, l’ennemi aurait à développer une attaque en
règle
. Il ne serait nullement question d’avancer rapidement comme dans les
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er » étrangement efficace. La connaissance de ses
règles
techniques permet de pénétrer certains secrets de la littérature cont
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aux formes du langage courant. A. Prenons la 3e
règle
de sa méthode : « Conduire par ordre mes pensées en commençant par le
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e voudrais désigner par rhétorique l’ensemble des
règles
du jeu dans l’art. Feraient partie de la rhétorique des éléments auss
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éfaces, finales, épilogues et points d’orgue ; la
règle
des trois unités ; les transitions, récitatifs, coups de théâtre et c
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grandes époques. Artiste était celui qui, de ces
règles
, savait tirer sa liberté. L’inspiration passait par ces canaux et se
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it par ces canaux et se communiquait par eux. Les
règles
étant connues, amateurs et critiques disposaient d’une mesure commune
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e sont-elles devenues.) Mais dès l’instant où les
règles
d’un jeu cessent d’être respectées comme absolues, qui pourrait désig
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n’a plus aucun charme. Si vous vous soumettez aux
règles
des échecs, déplacer un seul pion du noir au blanc devient un acte pa
12
ent, si vous avez inventé quelque chose. Ôtez les
règles
, et ce même déplacement devient le type du geste indifférent. Dans le
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utes époques, la rhétorique au sens large, et ses
règles
, sont strictement non arbitraires. Elles traduisent des relations con
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s demandent alors un « art vivant ». Comme si les
règles
d’un jeu devaient être vivantes ! Plus personne ne pourrait jouer2. L
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ssionnant qu’à la mesure de la fixité même de ses
règles
indiscutées. L’art consistait jadis à donner sens aux propositions de
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dis à donner sens aux propositions de la vie. Ses
règles
émergeaient de la nature profonde, elles prolongeaient la nature natu
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es procédés d’avertissement retenaient encore une
règle
élémentaire : marquer le début du jeu par un signal convenu, isoler d
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els « préoccupés qu’ils sont, au nom des vieilles
règles
, de commencer et de finir le jeu avec les mêmes cartes », échouent à
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entre ces limites spatiales et temporelles, à des
règles
indiscutées. Le roman policier passionne dans la mesure même où il ti
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sionne dans la mesure même où il tient compte des
règles
, soit pour les appliquer avec une perfection classique, soit pour y i
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quelque ingénieuse variation. La fixité même des
règles
fondamentales permet de mesurer l’invention de chaque auteur, et les
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u raffinement ou à la complication croissante des
règles
. (Le lecteur de romans policiers devient très vite un spécialiste.) E
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, Amsterdam, 1939. i. Rougemont Denis de, « Les
règles
du jeu dans l’art romanesque », Renaissance, New York, 1944–1945, p.