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rs paraissent la conscience, et le sérieux, et la
réalité
des vies au jour. Nous sommes deux. Il n’y a que deux philosophies :
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à la fois l’exact ajustement de ces raisons à la
réalité
, qui constitue la fin de l’expression ? A. Oui, dans un monde cartés
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usions analogues : il n’est possible de parler de
réalité
, de mesure, ou d’efficacité, qu’au sein d’un groupe donné de forces.
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up de penseurs ont estimé depuis cent ans que les
réalités
économiques étaient plus fortes que l’esprit et que ses choix. Or ces
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plus fortes que l’esprit et que ses choix. Or ces
réalités
ne faisaient que traduire en quantités physiquement mesurables notre
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e de la grandeur de nos misères secrètes. Dans la
réalité
psychologique du siècle, Hitler aura joué le rôle d’un personnage de
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personnage en scène, qui peut être emprunté à la
réalité
la plus banale, mais c’est plutôt l’intensité de la passion hostile o
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de passer, à travers ce yoga, de l’illusion à la
réalité
, et des choses telles qu’elles nous apparaissent aux choses telles qu
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es, pour lui l’univers ambiant perd son poids. Sa
réalité
visible et tangible continue d’exister, mais elle a perdu son pouvoir
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rrant, a dépassé la possibilité d’être aucune des
réalités
particulières exprimées par les quatre couleurs et les arcanes. C’est
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que le journalisme fait son apparition, et que la
réalité
quotidienne s’introduit dans les romans. Conjonction lourde de présag
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artiste crut qu’il irait loin… Il tomba dans « la
réalité
», coupa ses ailes et se fit romancier ou paysagiste d’après nature.
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t les pouvoirs. Il ne lui reste pour appui que la
réalité
telle qu’il la voit. Mais cette réalité — c’est-à-dire : l’extérieur
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ui que la réalité telle qu’il la voit. Mais cette
réalité
— c’est-à-dire : l’extérieur — ne peut fournir que des objets à expri
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ndormies. Le conte était le libre déploiement des
réalités
mêmes de l’âme, qu’il décrivait en personnages selon certains procédé
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esque », les rencontres qu’on ne voit pas dans la
réalité
, bref, tous recours au « hasard qui fait trop bien les choses ». J’ex
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ns, il n’y a pas de doute, nous retardons sur nos
réalités
. Nous poursuivons nos existences provinciales, Londoniens, Madrilènes
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ettre en forme, donc condenser, donc augmenter la
réalité
de l’objet ou de la situation. C’est donc toujours « exagérer » les t
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en de rentrer, sous peine de ne pas comprendre la
réalité
européenne en général, et française en particulier. Je pourrais me co
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evriez sortir, sous peine de ne pas comprendre la
réalité
mondiale. Après tout, il y a quarante millions de Français, sur deux-
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ent de vivre au xxe siècle, en tenant compte des
réalités
que nous avons créées ou laissé s’imposer ; de la rapidité des transp
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l’Amérique et la Russie. Cette impression est une
réalité
. Quant à notre continent, il est considéré comme une espèce de champ
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ité des gens d’esprit, un riche message gonflé de
réalités
souvent insoupçonnées. M. Denis de Rougemont est rentré d’Amérique. P
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ns, il n’y a pas de doute, nous retardons sur nos
réalités
. Nous poursuivons nos existences provinciales, Londoniens, Madrilènes
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ourquoi les bonnes raisons n’expliquent pas notre
réalité
, mais seulement ce qui la condamne. Ainsi, la pensée de la Fin a les
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inon de la Fin qui déjà nous pénètre, sinon de la
Réalité
qui m’a pressé d’écrire ces pages et qui pourrait suspendre ici ma ph
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« bas », en son temps, qu’aux yeux de ceux qu’une
réalité
nouvelle illuminait. Sans la vie, que dire de la mort ? Et sans la Fi
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sée, et l’homme en elle reste à peu près dénué de
réalité
, jusqu’au jour où la Fin le pense. Et c’est là son tragique et l’humo