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assé et territoires envahis. Le passé, le présent
réduits
se rétrécissent vers la catastrophe. Il n’est plus d’autre issue que
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ance, et notre possession la plus tenace, il nous
réduisait
au silence. La force était chanson fredonnée, sur le seuil, au matin
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el, et non pas expliquer certaines manières de le
réduire
aux exigences d’un discours cohérent — voilà sans doute le rôle du la
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d. Le langage cartésien ou scientifique cherche à
réduire
les faits ou les idées à quelques éléments isolés de mesure. Il s’org
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, — il n’en faut pourtant pas davantage pour nous
réduire
au parler prophétique. C’est le même risque, et ce n’est pas la même
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tendaient toutes à dépersonnaliser l’homme, à le
réduire
à un agrégat de réflexes conditionnés par l’État, le Parti et les sta
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a personne humaine se voyait attaquée, disséquée,
réduite
de plus en plus à l’irresponsabilité. La psychologie freudienne ne vo
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an de l’inconscient. D’autres s’appliquaient à la
réduire
à des déterminismes biologiques, ou sociologiques, ou économiques. Qu
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e du service civil. L’État lui-même se trouverait
réduit
au rôle précis et limité d’agence de statistique et de répartition de
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ative, affective, sexuelle, intuitive, etc. et se
réduit
théoriquement à la raison commune, il arrive que les facultés exilées
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l’on essayait d’abord de le raisonner, puis de le
réduire
à la raison, par des procédés contraignants. En cas d’échec, on le me
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’instinct combatif : comptez qu’une fraction très
réduite
de l’humanité — presque totalement mobilisée — combat en fait sur les
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se retrouve dans le héros. La part de l’art y est
réduite
à celle du style. L’autre branche sera celle du réalisme social. C’es
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es épuise et les condamne à rester singes. Il les
réduit
à imiter, là où nous sommes capables d’innover en tirant les leçons d
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ance, et notre possession la plus tenace, il nous
réduisait
au silence. La force était chanson fredonnée, sur le seuil, au matin
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équents. Paradoxe du siècle où tout est fait pour
réduire
l’homme à l’anonyme, pour le priver du sentiment de sa vocation, de s