1 1943, Articles divers (1941-1946). Rhétorique américaine (juin-juillet 1943)
1 e est l’homme pour qui le lendemain n’existe pas, remarquait encore André Gide. Dans ce sens élargi du mot, mais en retirant à l’é
2 1944, Articles divers (1941-1946). Quelle guerre cruelle (octobre-novembre 1944)
2 s il était d’abord dans l’ombre de nos âmes. On a remarqué que dans un cauchemar, ce qui nous terrifie n’est pas toujours l’aspe
3 1946, Articles divers (1941-1946). Contribution à l’étude du coup de foudre (1946)
3 a bibliothèque, où d’un coup d’œil furtif j’avais remarqué mes livres, lorsque sa femme entra en nous saluant d’une mélodieuse f
4 r se termine toutefois sans que mon hôte ait paru remarquer que mon malaise est contagieux. Il bavarde encore en prenant le café,
4 1946, Articles divers (1941-1946). Les quatre libertés (30 mars 1946)
5 es restent l’idéal officiel de la paix. Mais j’ai remarqué qu’assez peu de personnes sont capables de les énumérer. Il semble qu
5 1946, Articles divers (1941-1946). Deux lettres sur le gouvernement mondial (4 juin 1946)
6 À propos de cette dernière expression, avez-vous remarqué qu’on l’emploie de préférence pour dénigrer des projets de paix ? Pou
7 sont-ils donc si dangereux ? Avez-vous également remarqué que les militaires qui prennent la plume (comme ils disent) ont coutu
8 uerre, en se liant à des économies voisines. Mais remarquez l’hypocrisie du terme « nationaliser ». On n’ose pas dire « étatiser 
6 1946, Articles divers (1941-1946). En 1940, j’ai vu chanceler une civilisation : ce que l’on entendait sur le paquebot entre Lisbonne et New York (21 septembre 1946)
9 ment prévoir l’issue de cette guerre, lorsqu’on a remarqué qu’elle n’oppose plus que deux nations : l’une qui ne sait pas vaincr