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e est l’homme pour qui le lendemain n’existe pas,
remarquait
encore André Gide. Dans ce sens élargi du mot, mais en retirant à l’é
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s il était d’abord dans l’ombre de nos âmes. On a
remarqué
que dans un cauchemar, ce qui nous terrifie n’est pas toujours l’aspe
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a bibliothèque, où d’un coup d’œil furtif j’avais
remarqué
mes livres, lorsque sa femme entra en nous saluant d’une mélodieuse f
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r se termine toutefois sans que mon hôte ait paru
remarquer
que mon malaise est contagieux. Il bavarde encore en prenant le café,
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es restent l’idéal officiel de la paix. Mais j’ai
remarqué
qu’assez peu de personnes sont capables de les énumérer. Il semble qu
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À propos de cette dernière expression, avez-vous
remarqué
qu’on l’emploie de préférence pour dénigrer des projets de paix ? Pou
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sont-ils donc si dangereux ? Avez-vous également
remarqué
que les militaires qui prennent la plume (comme ils disent) ont coutu
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uerre, en se liant à des économies voisines. Mais
remarquez
l’hypocrisie du terme « nationaliser ». On n’ose pas dire « étatiser
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ment prévoir l’issue de cette guerre, lorsqu’on a
remarqué
qu’elle n’oppose plus que deux nations : l’une qui ne sait pas vaincr