1 savait mettre en œuvre. Le conte multipliait les rencontres fortuites, les coïncidences opportunes. Sa rapidité folle – par rappo

2 enchaînements arbitraires et le picaresque », les rencontres qu’on ne voit pas dans la réalité, bref, tous recours au « hasard qui

3 ue d’une complaisance acquise. Il faut encore une rencontre ménagée à la ressemblance du rêve : toute une cérémonie, avec ses rôl

4 Admirez l’appareil inexorable qui circonvient les rencontres fameuses : Tristan devant la cour d’Irlande est reçu par la fille du

5 le destin aveugle qui présida aux fastes de votre rencontre , ne perd-il pas un peu de son mystère si l’on songe que la femme du b

6 le imagine des idées qui détruisent l’homme, l’on rencontre sans trop d’effroi l’idée de l’homme détruit ; l’idée de l’homme qui

7 . Comment ils deviennent amis À la deuxième rencontre , ou tout de suite, l’Américain vous dit votre prénom, vous raconte sa

8 , puis plus du tout pendant un an. Et quand on se rencontre par hasard, on ne se demande pas ce qu’on est devenu, on rit, on boit