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urope : Fragments d’un Journal des Mauvais Temps (
septembre
1943)h I. — Le bon vieux temps présent Paris, 17 mars 1939 L
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près, on ne le voyait pas… V. — Lisbonne 10
septembre
1940 Blanche et bleue dans l’immense lumière de la liberté atlantique
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et ses rues débouchant sur le ciel, la ville aux
sept
collines oublie la guerre, oublie l’Europe. Dans quatre jours, nous e
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Europe », Revue de la pensée française, New York,
septembre
1943, p. 22-29.
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nnerez pas la sensation du blanc en décrivant les
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couleurs. C’est pourquoi le langage de la vision ou de la foi, s’il é
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qui paraissent simultanément dans huit pays et en
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langues différentes. La Part du diable , dont deux versions différe
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en 1943) », Suisse contemporaine, Lausanne, août–
septembre
1946, p. 824.
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it sur le paquebot entre Lisbonne et New York (21
septembre
1946)ag Lisbonne, 8 septembre 1940 Blanche et bleue dans l’immense
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et New York (21 septembre 1946)ag Lisbonne, 8
septembre
1940 Blanche et bleue dans l’immense lumière de la liberté atlantique
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pas notre délai de grâce ! À bord de l’Exeter, 11
septembre
1940 Les derniers barrages traversés, la passerelle relevée, et nos p
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Nous venons de passer, en quatre jours de voyage,
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contrôles différents de douane et de police. Secondés par la chance,
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n réel et bien lui-même… En mer, nuit du 12 au 13
septembre
1940 Les derniers bateaux de la dernière ligne reliant l’Europe à l’A
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nd vraiment bien qu’entre gens du même peuple. 17
septembre
1940 Chaque soir, les passagers se pressent devant la porte de la cab
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sa définition, — avant qu’elle fût définitive. 18
septembre
1940 Comment prévoir l’issue de cette guerre, lorsqu’on a remarqué qu
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« possible » serait donc la victoire anglaise. 19
septembre
1940 Un journaliste américain, qui revient de Paris, s’appuie au bast
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aché dans l’eau, pour marquer mon approbation. 20
septembre
1940, en rade de New York Je me suis éveillé dans ma cabine moite ave
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e civilisation », Le Figaro littéraire, Paris, 21
septembre
1946, p. 1 et 4.