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nold et l’avenir de la Suisse (1941)a Le grand
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que nous aura rendu l’auteur de Conscience de la Suisse, c’est d’avoi
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êmes, il faut que leurs diversités se fédèrent au
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du pays. Quand le temps presse, comme aujourd’hui, l’on voit ce qui c
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officiers. Tous les hommes de 20 ans, propres au
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militaire vont à la même école. Là le paysan a comme compagnon de cha
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nce technique résultant d’une si brève période de
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est compensée par un entraînement annuel. La vie civile également app
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s faire une société où les objets soient remis au
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de l’homme qui crée et qui se veut responsable ? Si nous choisissons
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es de ce genre : les institutions doivent être au
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de l’homme, et non l’inverse : — la liberté ne cesse d’être un mot cr
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typiques qu’elle inspira avant cette guerre. Un
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civil industriel Les premiers manifestes et volumes publiés par le
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upe de l’Ordre nouveau proposa l’institution d’un
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civil obligatoire, répartissant sur l’ensemble de la population le tr
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e faire une année de caserne. Les avantages de ce
service
civil seraient triples : 1) Justice sociale. La classe prolétarienne
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ailleur, et la masse de main-d’œuvre créée par le
service
civil serait mise par l’État à la disposition des libres entreprises,
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s blessé avec son propre sabre ! Les pionniers du
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civil donnèrent leur salaire aux ouvriers qu’ils avaient « relevé »,
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personnaliste. Il est clair que l’institution du
service
civil supposait une refonte générale de l’économie, et notamment une
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d’autant plus qu’il recevrait l’aide gratuite du
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civil. L’État lui-même se trouverait réduit au rôle précis et limité
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es retiennent une bonne partie de leur utilité au
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des nations et de leur vertu d’ordre. Admettons qu’elles arrivent enc
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à ceux qui donneront le signal de les utiliser au
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des nations, gouvernants tout d’abord et généraux ensuite, ils représ