1 rend fleurissante. Mais l’amour même est chose du silence . Cela dont je ne puis parler sans l’offenser dans sa grandeur, c’est

2 t le lieu d’un mutisme sacré. Angérone, déesse du Silence  : on croit qu’elle avait sa statue dans le temple de la Volupté. Et c

3 iment. Il n’aime que cela : regarder longtemps en silence , se perdre dans des yeux. (Certaines heures, soirs, aubes, passages.)

4 ssages.) L’ivresse naissante des amants, c’est le silence qui s’établit entre eux. L’approche des yeux, dès qu’ils ont accepté

5 t… Adolescence ! Le charme du désir est celui du silence  : il éloigne sans fin le terme. Tu n’entends que ce qui s’interrompt.

6 du viol de l’interdit qui impose aux amants leur silence , fascination de l’horreur sacrée, attirance de l’effroi mortel. Dans

7 eur sacrée, attirance de l’effroi mortel. Dans le silence du désir, la possession a fait une brusque rumeur de vagues affrontée

8 point la femme qu’ils viennent de posséder, leur silence meurt à cette minute du plaisir. Ils fuient, bavardent. Tristesse p

9 acial : vous n’irez pas au-delà de votre union. Ô silence des astres ! Fondues nos âmes ? Deux corps s’endorment dans leur paix

10 ou encore, il n’y a que deux doctrines : celle du silence et celle de la parole. La négation du désir amoureux par l’acte même

11 medi soir, où la Sainte-Cène est partagée dans un silence de catacombes. Centre du monde ! Il s’en va, coudoyant la foule et tr

12 Martine Je suis Aux champs Paix du village, silence des rues vides ouvertes sur le ciel et sur les blés. J’étais là fasci

13 J’ai tout dit. L’Europe était patrie d’amour. Le silence attendait, l’absence était profonde, et chaque être présent questionn

14 e possession la plus tenace, il nous réduisait au silence . La force était chanson fredonnée, sur le seuil, au matin d’une journ

15 mations vraies (celles que la presse passait sous silence ), lui révéler les secrets de la vénalité des grands journaux, et recu

16 lui, et de moi aussi, je crois. Nous voici seuls. Silence . Silence encore dans la voiture qu’elle conduit avec une expression c

17 e moi aussi, je crois. Nous voici seuls. Silence. Silence encore dans la voiture qu’elle conduit avec une expression concentrée

18 e furieuse démesure, mais il y eut alors comme un silence qui s’imposa sur nous et jusqu’assez haut dans les cieux, en sorte qu

19 J’ai tout dit. L’Europe était patrie d’amour. Le silence attendait, l’absence était profonde, et chaque être présent questionn

20 e possession la plus tenace, il nous réduisait au silence . La force était chanson fredonnée, sur le seuil, au matin d’une journ