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quand il était heureux, elle luisait d’une froide
splendeur
, et quand il était triste, elle était consolante. Mais c’était l’autr
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! Ainsi par une suite de vertiges, multipliant la
splendeur
amoureuse, par mille étreintes successives il s’élève à la jouissance
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ue c’est la seule Présence qui est terrible en sa
splendeur
et difficile à supporter, le seul Amour apparaissant qui menace d’êtr