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ons de prendre la France plus au sérieux, plus au
tragique
, que les chiffres stupides n’y inviteraient. Je m’interroge. Je repre
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t midi, pour moi ? Je ne sens pas que l’idée soit
tragique
: elle m’appartient, je puis en disposer, feindre assez facilement d’
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t en ceci se confondent, qu’elles sont absolument
tragiques
, c’est-à-dire sans appel. Ontologie de la fin Pour que nous appa
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s, qui avons cru pouvoir éliminer cette dimension
tragique
de notre vie, voici qu’un destin ironique se charge de l’approfondir.
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jusqu’au jour où la Fin le pense. Et c’est là son
tragique
et l’humour de la Fin. Tout ce qui est réel, tout ce qui manifeste la