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rien. Si c’est Dieu, je ne serai rien. Si Dieu me
tue
, il sera tout, et tout sera. Ainsi, ô Dieu, délivrez-moi de la gloire
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s cœurs… C’est le crime des dictatures : elles ne
tuent
pas la liberté dans les pays seulement où elles sévissent, mais aussi
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al, et les valeurs morales changent de signe : tu
tueras
, tu voleras, tu diras de faux témoignages avec honneur. Je parle d’ét
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’il se dresse contre nous. Et quand nous l’aurons
tué
, il nous occupera sans coup férir si nous n’admettons pas qu’il est u
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t que l’on peut opposer à ce qui précède, afin de
tuer
dans l’œuf toute tentative d’analyse féconde : « Avouez tout de même
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decorum est pro patria mori, accepte de se faire
tuer
non point par fanatisme, religieux, comme le Japonais, ni par esprit