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ut le regard de l’autre : sentiment comparable au
vertige
. Le jugement peut rester libre, mais il semble que l’âme s’extérioris
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il les aime, les possède ! Ainsi par une suite de
vertiges
, multipliant la splendeur amoureuse, par mille étreintes successives
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sible fascinant. Et nous vivrons dès lors dans le
vertige
de nous détruire au contact de cet infini, plus puissant que la joie
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plus puissant que la joie et la douleur. Dans le
vertige
de revenir toucher cet absolu, sensible à celui seul qui l’éprouve ju