1 1943, Articles divers (1941-1946). Angérone (mars 1943)
1 ut le regard de l’autre : sentiment comparable au vertige . Le jugement peut rester libre, mais il semble que l’âme s’extérioris
2 il les aime, les possède ! Ainsi par une suite de vertiges , multipliant la splendeur amoureuse, par mille étreintes successives
3 sible fascinant. Et nous vivrons dès lors dans le vertige de nous détruire au contact de cet infini, plus puissant que la joie
4 plus puissant que la joie et la douleur. Dans le vertige de revenir toucher cet absolu, sensible à celui seul qui l’éprouve ju
2 1946, Articles divers (1941-1946). Contribution à l’étude du coup de foudre (1946)
5 lle se lève et me suit. Nous allons chez elle. Un vertige , un sombre délire, et sans qu’un mot de plus ait été prononcé… Et ce
3 1946, Articles divers (1941-1946). La fin du monde (juin 1946)
6 ui seul qui accepte la mort n’est pas le jouet du vertige . Le temps vient où les hommes n’auront plus à se défendre, mais seule
7 ’un choix me créa. » (Nous fûmes tous saisis d’un vertige à ce discours d’une furieuse démesure, mais il y eut alors comme un s