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voici le paradoxe : dès que ce combat se relâche
à l’intérieur de
la personne, nous avons la guerre au-dehors. Je m’explique. Quand l’h
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tres ; mais surtout parce qu’il nous guette tous,
à l’intérieur de
nos pensées, au moindre fléchissement de notre vitalité, de notre cou