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é, d’intrications et de contradictions, définit l’
équilibre
humain qu’on nomme Europe. Il conditionne aussi notre culture. Et nou
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stion est de savoir si nous saurons maintenir cet
équilibre
malgré l’attraction formidable qu’exercent sur nous, par leur masse,
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e, un principe de critique permanente, un certain
équilibre
humain résultant de tensions innombrables. Cela, on nous le laisse en
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es faire jouer sans à-coup ; et le produit de cet
équilibre
sera le bonheur inévitable, obligatoire. Pour nous, la vie résulte d’
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nd les assumer et consister dans leur tension, en
équilibre
toujours menacé, en agonie perpétuelle. Cette agonie, littéralement :
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isme libéral, mais bien cette morale civique, cet
équilibre
, sans cesse rajusté, entre la liberté et l’engagement, dont s’honoren
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communauté et de la politique des nations. Ici, l’
équilibre
vivant doit s’établir entre les groupes divers et la nation unie, pui
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es causes de guerre, dès que l’un des éléments en
équilibre
faiblit, ou se voit écrasé et absorbé par l’autre. La volonté d’unifi
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s se définissent respectivement comme les états d’
équilibre
ou de relâchement d’une seule et même tension fondamentale, d’une con
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eurs de conscience. Cependant que notre sens de l’
équilibre
humain nous invite à remettre à leur place ces prétentions divinisées