1
est qu’en Europe, elles se trouvaient toujours en
état
de composition, tandis qu’ailleurs, pour le bien et le mal, elles se
2
ivant, soit au nom d’utopies plus virulentes. Cet
état
de complexité, d’intrications et de contradictions, définit l’équilib
3
démesurés. Essayons d’évaluer nos chances, dans l’
état
de résistance morale diminuée où vient de nous laisser la guerre d’Hi
4
Mais c’est aussi le plus difficile à maintenir en
état
d’efficacité. Or, il s’en faut de beaucoup que les Européens soient u
5
de leur avenir la vision d’une Europe réduite à l’
état
de musée plus ou moins bien tenu, ou au contraire la vision d’une Eur
6
maladies se définissent respectivement comme les
états
d’équilibre ou de relâchement d’une seule et même tension fondamental
7
lité sensuelle. Les avantages et les dangers de l’
état
des mœurs que l’on vient d’esquisser donneraient matière à tout un li
8
s », qui ont à peu près les mêmes rapports avec l’
état
des forces dans le monde qu’un combat de coqs avec le problème de la
9
eur qu’ont les Russes que l’on se renseigne sur l’
état
de leurs travaux atomiques ? — J’ai une explication plus simple du «
10
me paraissent applicables, immédiatement, dans l’
état
présent de l’Europe. Premier principe. — La fédération ne peut naîtr
11
ticularités et son autonomie, qu’il serait hors d’
état
de défendre seul contre la pression des grands empires qui le menacen
12
nction leur interdit de céder un pouce, et dans l’
état
présent de l’opinion et des rivalités des partis, ils courraient le r
13
ui pose un problème sérieux. Si l’on estime que l’
état
présent de nos mœurs est satisfaisant, il en résulte qu’une « éthique
14
ement — s’il y pense, il est dans le jeu. Dans un
état
signifiant et rythmé. Il ne voit plus l’échelle ni le chat noir à gau
15
ion fédérative doit naître. Il faut provoquer les
états
généraux de l’Europe. C’est le seul moyen d’échapper au totalitarisme
16
is de Rougemont quels hommes prendraient part aux
états
généraux de l’Europe dont il vient de me parler. Il faut, me répond-i