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lisé (maintiennent) l’amour sous la tutelle d’une
éthique
… » Car ce que les primitifs réglementaient n’était jamais l’amour au
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que nous imaginons pour le réaliser — religions,
éthiques
, politiques, puis sciences — se confondent un beau jour avec une tyra
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os mœurs est satisfaisant, il en résulte qu’une «
éthique
de l’amour » (entendons de la sexualité) n’est pas nécessaire ; car e
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me et la contradiction, il nous faut rétablir une
éthique
, c’est-à-dire recréer des tensions entre la « nature » et un ordre, o