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ns leur tension, en équilibre toujours menacé, en
agonie
perpétuelle. Cette agonie, littéralement : cette lutte, consomme des
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bre toujours menacé, en agonie perpétuelle. Cette
agonie
, littéralement : cette lutte, consomme des énergies immenses. Et c’es
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llons les retrouver, précisément, dans cette même
agonie
permanente dont on vient de voir qu’elle est la condition de l’homme