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ulaire technique s’est transformé, les références
aux
dogmes ont disparu, l’appareil logique emprunté aux sciences physico-
2
x dogmes ont disparu, l’appareil logique emprunté
aux
sciences physico-mathématiques tend à remplacer l’appareil scolastiqu
3
dication chrétienne semble réduite, dans la cité,
aux
proportions d’un chuchotement intermittent ? L’ignorance réciproque d
4
préalables, j’ai une requête précise à présenter
aux
jeunes théologiens qui me liront. Je voudrais que certains d’entre eu
5
nre, elle aurait en tout cas l’avantage de donner
aux
fidèles — et à leur clergé — certains critères de jugement, un certai
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redécouvrent quelques bribes, des encyclopédistes
aux
existentialistes, en passant par les romantiques, les symbolistes et
7
isme romantique. Qui voudra et pourra l’expliquer
aux
disciples de ces mouvements ? Il y faudrait un théologien. Lever les
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bonne pour les petits bourgeois, n’a rien à dire
aux
esprits libres et « avancés », et ne tolère que le mauvais art du der
9
lassique, tandis qu’une théologie libérale se lie
aux
mouvements romantiques. C’est que l’écrivain romantique croit voir d
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ères solides, une résistance effective et valable
aux
incartades de l’imagination. Ainsi fait le fougueux d’Aubigné s’arman
11
rler avec cette simplicité trop aisément atteinte
aux
dépens du mystère, et pour laquelle les protestants anglo-saxons mont
12
ette théologie serait rendre un service important
aux
auteurs non moins qu’au public. Ces brèves remarques atteindront leur
13
tie, qui sont celles mêmes de la mort, font place
aux
lois des dieux, qui sont celles de l’esprit ; et des dieux irrités co
14
r nectar et leur ambroisie, pour les faire goûter
aux
mortels. Puis, dans l’idée de défier l’Olympe et d’éprouver son omnis
15
t. Quant à la mise à mort du fils, offert ensuite
aux
dieux comme nourriture meilleure, il est surprenant d’observer qu’ell
16
du Fils de Dieu. Au lieu du Père livrant son Fils
aux
hommes pour qu’ils le tuent, mais aussi pour qu’ensuite ils revivent
17
un homme tue lui-même son fils, et donne sa chair
aux
dieux pour qu’ils en meurent, — s’ils perdent leur divinité de s’être
18
é surprendre et abuser. À cette double infraction
aux
grâces de l’esprit (comme je voudrais nommer les lois spirituelles),
19
ïen, l’homme reste seul avec lui-même et se ferme
aux
interventions d’une transcendance, ou d’un appel venu d’ailleurs. (Le
20
ndre, et tout cela ne tient vraiment qu’à lui, qu’
aux
dispositions de son âme : c’est que celles-ci n’ont pas changé depuis
21
ennent d’avoir lieu à Genève, eussent été un four
aux
États-Unis. En Russie, ils auraient été interdits. Personnellement, j
22
ez des camps de concentration, et vous interdisez
aux
poètes de s’exprimer librement, et vous n’avez pas la liberté de la p
23
tait, on jouait du piano dans toutes les chambres
aux
portes entrouvertes, et l’on se réunissait pour les repas autour d’un
24
ts essais qui nous conduisent par un léger détour
aux
conclusions décidées par l’auteur. C’est pourquoi l’on citera souvent
25
un sourd-muet à son ami devenu fou, qu’on va lire
aux
pages 219-220 : « Les autres, écrit-il, haïssent tous quelque chose.
26
tel à Berne par exemple — ne servent cependant qu’
aux
petits déplacements, qui sont des voyages concentrés et plus émouvant
27
mme si l’humanité où nous plongeons se conformait
aux
règles de la bonne conduite. » L’aspect d’un wagon suisse de IIIe cla
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hôtel prie sa clientèle de ne pas donner à manger
aux
mouettes. C’était l’été des expériences de Bikini. Dans les secondes
29
tort, c’est la classe vulgaire. Des jeunes femmes
aux
moues insolentes, vêtues comme des réclames de magazines, discutent a
30
de Novalis. Les masses comme les élites échappent
aux
Églises. Elles ne croient plus qu’en l’ici-bas, qu’en cette vie-ci, q
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lites n’ont rien de plus pressé que de s’asservir
aux
dogmes d’un parti. Tout ce qu’a perdu la religion, c’est la politique
32
me à gauche, avec cette minutie sourde et aveugle
aux
indications du réel qu’apportent à leurs petites occupations les alié
33
ire mieux. Je ne vois plus, pour tenir vitalement
aux
conceptions et aux coutumes européennes, que deux classes par ailleur
34
is plus, pour tenir vitalement aux conceptions et
aux
coutumes européennes, que deux classes par ailleurs tout opposées : l
35
es esprits les plus libérés, et les plus attachés
aux
préjugés locaux ; les subversifs et les conservateurs par profession
36
contraire la vision d’une Europe qui aurait cédé
aux
tentations d’un bonheur étranger à son génie, une Europe américanisée
37
utre part, conduisent identiquement et fatalement
aux
réactions sanglantes des guerres civiles, et par suite, quel que soit
38
iviles, et par suite, quel que soit le vainqueur,
aux
dictatures. Or il n’en va pas autrement sur le plan de la communauté
39
nature diversifié, impropre donc et même rebelle
aux
planifications sur table rase que l’Amérique, et surtout la Russie —
40
i cet esprit critique, ce scepticisme, s’applique
aux
mystiques de l’État et du Parti divinisé, aux idéaux purement profane
41
que aux mystiques de l’État et du Parti divinisé,
aux
idéaux purement profanes et séculiers que nous proposent l’URSS et le
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périence est de rater neuf fois sur dix. Je pense
aux
crises économiques qui menacent constamment l’Amérique. Celle de 1930
43
pas simplement l’homme, dans son humanité rebelle
aux
chiffres, l’homme en soi — l’éternel résistant ! Or, l’Europe, et c’e
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ernier trait : l’Europe, surtout si on la compare
aux
deux empires séparés d’elle, et que je nomme les deux empires sans pr
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troisième bloc, un bloc-tampon, ou un bloc opposé
aux
deux autres. Ce ne serait rien résoudre, et au contraire, ce serait e
46
t au contraire, ce serait exalter le nationalisme
aux
dimensions continentales. Ce qu’il nous faut demander, et obtenir, no
47
es nations européennes s’ouvrent d’abord les unes
aux
autres, suppriment sur tous les plans frontières et visas, renoncent
48
es catégories théologiques traditionnelles. Quant
aux
fidèles, ils avaient à se défendre contre la menace quotidienne, inno
49
s de pensée et de vie de moins en moins conformes
aux
lois spirituelles : sans le savoir, sans oser se l’avouer, les chréti
50
« survivances religieuses », firent autant de mal
aux
Églises que les persécutions romaines aux premiers temps leur avaient
51
de mal aux Églises que les persécutions romaines
aux
premiers temps leur avaient fait du bien. Partout, l’on vit au cours
52
erminée pour elles, dans notre temps, c’est poser
aux
Églises chrétiennes un dilemme très net : il ne leur reste plus qu’à
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n vain une utopie nouvelle. Les uns s’abandonnent
aux
vieilleries et tentent de restaurer le nationalisme, condamné par les
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de relations humaines viables, comme elle le fit
aux
siècles sombres, avant la floraison du Moyen Âge, qui fut son œuvre.
55
is deux siècles. « Soyez fous ! », dit saint Paul
aux
Corinthiens. « Osez être l’invraisemblable ! »2 dit Kierkegaard. Ce s
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une pure utopie si les chrétiens s’en remettaient
aux
Églises pour le réaliser. Les Églises comme corps organisés ne peuven
57
ine intelligente si le suicide par amour existait
aux
États-Unis : non, dit-elle, si nous nous suicidons au lendemain d’une
58
e des conjoints, donnant ainsi un avantage énorme
aux
femmes. C’est l’homme qui amène l’argent, en règle générale, mais c’e
59
u cinéma. Ce « tonitruant troisième sexe » dérobe
aux
jeunes femmes — selon le même auteur — « cette part de la personnalit
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Du divorce Les statistiques établissent qu’
aux
États-Unis l’on divorce davantage que dans tout autre pays du monde,
61
n y divorce d’une manière tout à fait différente.
Aux
yeux des intéressés, le divorce américain ne saurait être, comme chez
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sme scientifique et quelque peu pédant, substitué
aux
préjugés du moralisme, mais aussi du libertinage ; fuite générale dev
63
r les quais, le long des bâtiments de brique rose
aux
fenêtres encadrées de pierre et surmontés de clochers fins au bulbe d
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logiens. On m’y a présenté trois génies. Un génie
aux
États-Unis, c’est une catégorie précise d’étudiants. « Génie » n’est
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de la censure à la polycopie, avant d’être remis
aux
speakers, nous trouvons un moment pour causer. Et souvent nous parlon
66
devrait durer trois jours dans une vaste demeure
aux
portes condamnées, où chaque invité amènerait une personne inconnue d
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traînant des sanctions immédiates. Rendre un sens
aux
paroles, aux gestes et au costume, par cela même à la Surprise… Intro
68
sanctions immédiates. Rendre un sens aux paroles,
aux
gestes et au costume, par cela même à la Surprise… Introduction à la
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contrepoint avec deux télétypes, visières vertes
aux
fronts sous les lampes dures, manches retroussées, fatigue, paniques
70
destines entendront : La Voix de l’Amérique parle
aux
Français. Il est temps que je recueille et dépouille les directives d
71
il illustre lui-même à l’aquarelle. Géant chauve,
aux
yeux ronds d’oiseau des hauts parages, aux doigts précis de mécanicie
72
hauve, aux yeux ronds d’oiseau des hauts parages,
aux
doigts précis de mécanicien, il s’applique à manier de petits pinceau
73
tait, on jouait du piano dans toutes les chambres
aux
portes entrouvertes, et l’on se réunissait pour les repas autour d’un
74
a disparu. Notre vision du monde, naguère limitée
aux
dimensions de la nation, mais désormais sollicitée par des espaces no
75
des repères coutumiers et pratiques s’est élargi
aux
dimensions de la planète. Que faire de ces informations en vrac, dont
76
dultère. Quelle est donc son idée de la liberté ?
Aux
Indes les musulmans, les hindous et les princes ne s’accordent que su
77
ques révèlent qu’à l’heure présente on enregistre
aux
États-Unis un divorce pour trois mariages. Cela non plus ne restera p
78
e liberté en Russie, manque de bases spirituelles
aux
États-Unis, manque d’ordre politique en Asie, manque de foi et d’espo
79
communiste », expression qu’on réserve d’ailleurs
aux
personnes dont on ne peut affirmer qu’elles sont communistes, simplem
80
proposé, en 1945, de livrer le secret de la bombe
aux
quatre Grands, donc pratiquement à l’URSS ? Au risque de passer pour
81
solide, sans l’URSS. — Vous entendez : en offrant
aux
Russes une invitation permanente à les rejoindre ? — Mieux que cela :
82
sement considérable. Avec cette simplicité propre
aux
grands esprits et cette parfaite courtoisie qui est la marque de l’ho
83
ir quelques instants. Je viens de passer sept ans
aux
États-Unis, nous confie-t-il. J’étais parti pour l’Amérique afin de f
84
la musique. Surpris par la guerre, je suis resté
aux
États-Unis. Je suis rentré en Suisse il y a quelques mois seulement,
85
considérable que M. Denis de Rougemont a exercée
aux
États-Unis en faveur de notre pays. Il est trop modeste pour vouloir
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munauté au sein de laquelle sa vocation s’exerce.
Aux
individualistes nous rappelons donc que l’homme ne peut se réaliser i
87
r engagé du même coup dans le complexe social. Et
aux
collectivistes, nous rappelons que les conquêtes sociales ne sont rie
88
ude et des méthodes fédéralistes. ⁂ L’an dernier,
aux
Rencontres internationales de Genève, le philosophe allemand Karl Jas
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bon pour un petit pays, mais n’est pas applicable
aux
grands. De plus, il a fallu des siècles aux Suisses pour se fédérer,
90
cable aux grands. De plus, il a fallu des siècles
aux
Suisses pour se fédérer, et nous avons besoin de solutions rapides. »
91
e l’objection est valable si l’on ne s’attache qu’
aux
détails de la mise en pratique du fédéralisme en Suisse, mais non pas
92
tique plutôt que simplement logique. Elle échappe
aux
catégories géométriques du rationalisme vulgaire, mais correspond ass
93
rationalisme vulgaire, mais correspond assez bien
aux
formes de pensée introduites par la science relativiste. À mon sens,
94
les respectant, et non point de soumettre les uns
aux
autres, ou d’écraser l’un après l’autre. On ne saurait trop insister
95
oir central. Et nous devrons constamment rappeler
aux
deux partis que le fédéralisme véritable n’est ni dans l’une ni dans
96
queurs n’ont eu rien de plus pressé que de rendre
aux
vaincus leur pleine égalité de droit. Et de cet acte de renoncement à
97
comme un refus constant et instinctif de recourir
aux
solutions systématiques, aux plans simples de lignes, clairs et satis
98
stinctif de recourir aux solutions systématiques,
aux
plans simples de lignes, clairs et satisfaisant pour la logique, mais
99
Saxons, Scandinaves et Grecs, se verraient soumis
aux
mêmes lois et coutumes, qui ne pourrait satisfaire aucun de ces group
100
rnier élan, une poussée populaire forçant la main
aux
gouvernements. Souhaitons que cet élan soit spontané et non pas provo
101
et point par point, avec une étonnante précision,
aux
dogmes des totalitaires. Tous les systèmes totalitaires, en effet, so
102
moitié gagnée. Car si l’Europe doit durer, c’est
aux
fédéralistes qu’elle le devra, et à eux seuls. Sur qui d’autre peut-e
103
qu’est-ce que vous dites de la question des Noirs
aux
États-Unis, hein ? » Ce dialogue de fous n’est pas celui des peuples,
104
reproche : 1° Les éditeurs américains ne sont pas
aux
ordres de Truman, comme ceux de l’URSS sont aux ordres de Staline ; 2
105
s aux ordres de Truman, comme ceux de l’URSS sont
aux
ordres de Staline ; 2° Les éditeurs américains cherchent à faire de l
106
orte rien ; 3° Or les livres qui font de l’argent
aux
US sont les romans historiques et les romans religieux, qui tirent so
107
ise opinion moyenne. Sur la dictature de l’argent
aux
USA, tout a été dit, et les cent anecdotes personnelles que je pourra
108
’économie et les mœurs, l’idée de l’homme commune
aux
peuples de l’Europe : ni l’individu sans devoirs ni le soldat politiq
109
’homme qui sait ce qu’il se doit et ce qu’il doit
aux
autres. Voilà ce que cherchent dans tous nos pays les meilleures tête
110
réussir sans ses voisins, ou pour résister seule
aux
pressions impériales. Et l’idée de coopération qui serait au cœur de
111
nspire partout sa recherche, ne saurait s’arrêter
aux
frontières d’un pays. Voilà donc le fédéralisme. L’opposition I
112
inscrit dans les données du siècle et si lisible
aux
meilleures volontés qu’il ne puisse provoquer d’opposition foncière.
113
a Russie ne veut pas la paix de l’Europe. Invités
aux
congrès fédéralistes, les communistes répondent en tirant le rideau d
114
ui est la politique par excellence, n’en déplaise
aux
sectaires de tous bords. La véritable troisième force, ce n’est pas j
115
us rendent à l’enfance, parce qu’ils nous livrent
aux
magies intimes. Se croire ou se sentir unique, c’est la superstition
116
les curés barbus. Il n’attend rien qui ressemble
aux
dictons de l’occulte, attendant cela seulement qui ne ressemble à rie
117
x qui dans le doute se réfèrent à leur tradition,
aux
coutumes ancestrales, aux dictons : signes enregistrés de l’inconscie
118
èrent à leur tradition, aux coutumes ancestrales,
aux
dictons : signes enregistrés de l’inconscient collectif, et tenant li
119
spécialité, vous répondra-t-il, que de réfléchir
aux
conséquences générales des découvertes particulières, et aux liaisons
120
ences générales des découvertes particulières, et
aux
liaisons humaines qu’elles affectent. C’est un intellectuel. Un inte
121
ment de l’écrivain n’existent pas là-bas. Écrire,
aux
États-Unis, c’est entretenir les lecteurs des problèmes d’aujourd’hui
122
oins qu’on écoute. Les autres n’en sont encore qu’
aux
balbutiements. La musique s’est tue. Les tables se vident. Dans ce ba
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Denis de Rougemont quels hommes prendraient part
aux
états généraux de l’Europe dont il vient de me parler. Il faut, me ré
124
ment deux blocs ? ⁂ Une première différence saute
aux
yeux, quand on compare le rôle de l’URSS et celui des États-Unis dans
125
ment dit, l’URSS est présente dans toute l’Europe
aux
élections et dans les parlements, elle a ses troupes disciplinées, el
126
on en tient compte. En Russie, on promet la lune
aux
ouvriers, mais en fait on leur ôte le droit de grève et le droit de s
127
our ne pas voir de quel côté les promesses faites
aux
masses sont tenues aux USA, non pas en URSS. Enfin, l’on me dira qu’i
128
côté les promesses faites aux masses sont tenues
aux
USA, non pas en URSS. Enfin, l’on me dira qu’il y a dans les deux cam
129
e. Mais l’Amérique n’en est pas un, elle qui vise
aux
libres échanges, tolère les pires indiscrétions, multiplie les moyens
130
rvir tout en feignant de donner du lait en poudre
aux
enfants. Il faut avouer que le nom même de « condensé » nous vient de
131
er à celle-ci le prestige populaire qui s’attache
aux
audaces d’outre-Atlantique. S’ils s’étaient contentés de mots françai
132
t sans réplique au goût français, et le réduisent
aux
dimensions civilisées du volume à trois francs cinquante broché en ja
133
uvrages moyens ou faibles un honneur qui convient
aux
plus grands, et que seuls les plus grands soutiennent. Trois remarque
134
adolescents. Mais le fameux grand public, si cher
aux
éditeurs, n’est-il pas un enfant devant la vraie culture ? N’a-t-il p
135
fant devant la vraie culture ? N’a-t-il pas droit
aux
mêmes égards que la jeunesse de la part de ceux qui l’éduquent ? Ne f
136
pas lui ménager avec prudence un accès progressif
aux
chefs-d’œuvre ? Autre question que je poserai sans la trancher : si l
137
ue je poserai sans la trancher : si l’on reproche
aux
« condensés » d’évacuer le style d’un auteur, et de priver son messag
138
ginal ; enfin qu’ils prennent le soin de renvoyer
aux
éditions complètes de l’œuvre, dans tous les cas où il est possible d